Salut la compagnie
Donc, comme notre draisine nous a lâchement lâché, nous avons remis en service ce bon Dujardin avec ses bennes ardoisières.
Pour ça, il a fallu rectifier un aiguillage car le bougre, habitué des ardoisières, n'a pas une table de roulement de ses roues aussi large que du matériel non industriel et il y avait une aiguille qu'il n'aimait pas du tout. Il nous a fait le coup du "je vais dans l'sable" 4 ou 5 fois depuis deux ans !
Bon, maintenant, il y en a deux qui l'aiment plus que tout...
Et faut qu'ça brille !
Le problème avec Duduj, c'est qu'il faut aussi le démarrer

Même les plus jeunes veulent apprendre à conduire mais s'occupent du frein, c'est déjà pas mal
Comme Duduj est chargé de sortir et rentrer la rame vapeur-marchandises, il ne faut pas refouler trop loin dans la remise, nous avons installé un carré.
Côté gros travaux c'est un peu la pose, nous en avons profité pour peaufiner l'information à l'entrée du site
et comme l'appel aux fonds via la Fondation du Patrimoine pour notre De Dion fonctionne assez bien, nous allons pouvoir envosager la construction de la caisse. Pas simple, quand les plans n'existent pas. Ce n'est pas du Carel mais du Guillet, un carrossier automobile d'Angers, autant dire que les archives...
Ça cogite dur pour faire les plans.
On s'occupe aussi des lanternes, comme celles de côté de train.
Ho mais ! Quel est ce bruit, vers l'ouest ? On dirait une canonnade ! Le ciel s'embrase ! Serait-ce les Américains qui arrivent ?

A SUIVRE