
Mais les éléments nouveaux ont amené d'autres questions !
La n° 11 a bien été revendue en 1908 à M. Rosier, entrepreneur de TP, chargé de la construction de la ligne de St-Péray à Vernoux en Ardèche. Il la déclare officiellement aux service des Mines de ce département en juillet 1908.
Après la fin des travaux, elle est abandonnée à St-Péray, et y reste jusqu'en 1916.
Le 14 décembre, l'Arsenal de Roanne, qui vient de la racheter à M. Rosier, demande à ce qu'elle leur soit expédiée.
En 1927, un des deux machines ex-Drôme participe aux travaux de pose des voies de la section terminale de la ligne de la Cerdagne.
C'est elle que l'on voit en photo de couverture du livre cité, et que l'on retrouve abandonnée à Bourg-Madame après l'ouverture à l'exploitation, avec ce qui semble être une 030T Buffaud-Robatel.
Je n'ai aucun détail sur l'entrepreneur concerné.