On s'est dit que tout le monde ne comprendrait peut-être pas les subtilités des différents écartements, alors il a été décidé ce ouiquende de faire dans le pédagogique.
Qui c'est qui s'y colle ? Bon, voilà ce que ça donne (j'avais déjà le petit plateau) :
J'ai refait une 3e fois mon sol en enduisant la totalité de la surface avec de l'enduit à lisser. On verra demain au réveil ce que ça donne.
En attendant, je me suis dit que, même si on ne voit rien sur les très rares cartes postales, le chantier naval Angibaud devait bien avoir une petite cabane. Alors j'ai fait ça.
Le bloc de carton-plume, c'est pour matérialiser taille et emplacement et voir si ça marche, mais pas seulement :
Astuce : Ensuite, je recouvre ce bloc avec des allumettes refendues collées à la colle blanche. Quand c'est sec, je coupe ce qui dépasse :
Peinture avant de poser le toit, c'est plus facile :
Le toit est composé d'un bout de carton épais recouvert de papier d'emballage de cigarettes. Des chutes d'allumettes maintiennent le tout. Et si le gars qui regarde sa montre à côté de la cabane trouve que ça ne va pas assez vite, il peut tomber la veste et me filer un coup de main !
Mise en place, avec quelques pierres sur le toit.
Les ouvriers m'ont remercié.
C'est bien le moins que je pouvais faire, je suis un descendant des Angibaud, mais la branche qui allait chercher par bateaux le guano en Argentine au 19e siècle. 'l'avait pas la qu... euh, froid aux yeux, l'ancêtre Louis-André !!!
Et voilà les dividendes :
Que nuitée vous soit bonne.
À suivre...
M. Lapin
