Je vote aussi pour la dualité digital / analogique.
Rien que le fait de le prendre comme un défis, je m'en voudrais de ne pas apporter ma contribution à ce debat.
Et j'irais même plus loin. Storm et moi en avons un peu parlé samedi et si ça ne se fait pas directement dès 2007, il faut penser la conception des maintenant.
J'y viens, j'y viens.
A mon sens, utiliser le digital pour multiplier les circulations qui se suivent sur un reseau modulaire constitue un indeniable progres.
Mais c'est limiter le digital à 5% de ses possibilités. Aussi ce qu'on aimerait faire, ce sont des sessions d'exploitation en point à point entre deux gares, avec scenario et respect d'un minimum "d'obligations ferroviaires" !! Sur des sessions courtes de l'ordre j'immagine de 30 à 45 minutes.
Donc si je resume bien : un programme (et un cahier des charges qui va avec) defini en quatre points :
1°) ce qu'on va appeler la norme : circu denses et variées en digital.
2°) sessions completement analogiques avec circulation de deux ou trois trains suivant la longueur du reseau. Sessions d'une heure à une heure et demi : une le matin et une l'apres midi.
3°) Exploitation complexe en digital avec exploitation point a point entre deux gares, couplée eventuellement à la circulation dans le même temps d'un ou deux trains courts. Quid du cantonnement ? Il faut juste que les deux exploitants (un pour chaque gare) aient un vis a vis et l'exploitation se ferait simplement visuellement sur le principe du baton pilote.
4°) Le programme "heure de la bouffe" : un voire deux trains courts et fiables en digital et en automatique.
Tout cela a debattre et a ne mettre en fonction que si et seulement si la technique le permet de facon fiable et definitive.
Pour Bernard Henri, ne te cherche plus, on t'a deja trouvé.
