On pourrait croire qu'il ne se passe rien à l'AAPA, que le travail se fait tout seul pendant qu'on se tourne les pouces
Encore une quinzaine de personnes ce mercredi à la gare et pas que des ammateurs mais aussi des amatrices. Trois se sont levés plus tôt, un à 4h du matin deux vers 5h30 (il faut dire que certains, à l'AAPA, viennent de Nantes... Personne n'est parfait et ça se paye en heures de sommeil

), et se sont tapé 700 bornes pour aller faire la sieste sous une De Dion à Butry, avec lampe de poche, maître ruban, crayon et téléphone pour les photos

A la gare, pendant que deux grattaient encore ces sacrés portes qui se font dorloter pour retrouver leur faste digne d'une gare du Petit Anjou, une dizaine d'autres se faisaient conducteurs de brouettes, les pieds dans le ciment (ils les ont retiré à temps, on n'est pas à Chicago ici

).
Même le petit local à carburant de la draisine y a eu droit ainsi que le remisage des poubelles
A l'étage du BV, pose du faux plafond
Il y en a tout de même qui, pendant que les travailleurs de force bossaient, se doraient la pilule au soleil !
Y'a pas à dire, on sait retirer nos mains de nos poches
A SUIVRE