Si je peux faire quelques remarques:
-Il faut bien connaître le fonctionnement de la machine à vapeur dans son intégralité avant de conduire et de maîtriser une locomotive.
-Pour construire une machine, les connaissances mécaniques doivent être approfondies et on ne s'improvise pas tourneur ou fraiseur sur une simple ambition. Je l'ai vu à la foire de Karslruhe encore cette année.
- Si une machine en kit est chère, elle a l'avantage d'être, en principe, bien conçue et descendante d'un modèle ayant fait ses preuves. (C'est à souhaiter)...
-Une loco d'occasion peut aussi révéler des failles cachées; nous en avions fait l'expérience à l'époque de notre association (231V44). Notre locomotive avait été réalisée avec des pièces et de la visserie de récupération, filetage Wittworth et Japy; elle était née avec les restes d'une 221 ratée, reconstruite en 231 avec une chaudière rallongée au niveau de la boîte à fumée. Mais le vendeur qui avait près de 90 ans ne se souvenait pas de certains détails car c'est son frère qui construisit la machine lui n'étant que "l'usineur".
Ma conclusion -toute personnelle- est que l'on a rien sans rien (capacités, finances et surtout du temps).
Passer, déjà, du temps pour réfléchir, s'entourer de conseils, voir les fournisseurs potentiels et avoir des contacts avec ceux qui se sont déjà lancer dans l'aventure

peut aider à prendre une bonne décision.
Salut.