L'expression "Usine à gaz" est assez malvenue. L'architecture de l'entraînement s'inspire des locomotives modernes, sans en conserver tous les avantages.
Le pupitre doit être pris pour ce qu'il est: une réalisation d'étudiant un peu bâclée à la fin du travail, pour avoir qqch de fonctionnel, en négligeant l'ergonomie et la compatibilité ferroviaire à moyen terme. Cela devait fonctionner pour la date de défense du travail afin de recevoir une note suffisante pour être reçu. D'où des boutons à manier avec délicatesse à deux doigts et un affichage de vitesse à LCD.
Est-ce que cela peut constituer une base solide pour arriver à un système apte au service régulier? Je n'ai pas encore la réponse, mais j'y travaille. Si je pose la question, c'est bien qu'une réponse négative ne peut pas être écartée à ce jour, d'où la piste d'une transmission hydraulique mentionnée par OSVF.
A moins de découvertes archéologiques miraculeuses de pièces nécessaires et l'annonce d'un grand-père-ingénieur octogénaire capable de concevoir un système d'entraînement avec ces éléments, la reconstruction
à l'ancienne doit être écartée.