Bonjour à tous !
Au sujet de l'emploi et de l'omniprésence des fourgons DD sur le Vivarais jusqu'à la fermeture d'octobre 1968, Il y une question que je me pose souvent...
Est-ce que la présence (quasi ?) systématique de ces fourgons ne serait-elle pas liée à la présence, jusqu'au bout de l'exploitation commerciale, d'un
chef de train (et non d'un simple "serre-frein")
quelle que soit la nature du train (voyageurs ou marchandises, présence de wagons non freinés ou pas) ? y compris après que les vigies aient été "obturées" et qu'on ait créé, en compensation probablement (et uniquement sur le Vivarais), les fameuses fenêtres latérales pour donner un peu de "jour" dans le fourgon en hiver quand les grandes portes sont fermées ?
Ce qui ne semble pas avoir été le cas (par exemple) en Lozère à la même époque (années 60) où l'on voit des trains complets de tombereaux mais plus le moindre fourgon... d'où une question subsidiaire

: Y avait-il encore des chefs de train sur les trains de marchandise sur le Vivarais et/ou en Lozère dans les années 60 ?