La promiscuité n'est jamais bonne pour les vegetaux. Au centre de l'agglo, là où les parcelles sont petites et là où chaque propriétaire veut son cerisier, son prunier, son pêcher ; c'est les conditions ideales pour la propagation des maladies cryptogamiques qui sont reunies. La temperature toujours superieure a celle rencontrée dans les milieux plus ouverts et la pollution n'aidant sans doute pas. Le nombre des individus non entretenus ou traités aussi.
Ici à la limite de la Beauce c'est deja un peu plus la campagne et paradoxalement la densité de fruitiers est infiniment plus faible que dans les grandes zones pavillonaires. Si je prends l'exemple du quartier de la Gare à Trappes, là où resident mes parents (ancien lotissement des chemins de fer de l'ETAT), chaque parcelle de 200 ou 300 m² portait un ou plusieurs fruitiers de grande taille.
Autour de chez moi dans un rayon de 100 metres à Raizeux, il doit y avoir un noyer, 3 ou 4 cerisiers et quelques pommiers. Et c'est à peu pres tout.
