En ce qui concerne l'éventuelle reproduction du Sirius en modèle à quai dans un port, la coque n'est pas si compliquée que cela.
1) pas besoin de faire les parties immergées (les oeuvres vives) , ça tombe bien, c'est ce qui est le plus compliqué
2) la partie émergée des flancs de la coque est constituée de plaques de tôle cintrées mais non bombées, les flancs sont donc droits ou presque.
3) le plan donne (dans sa partie deck plan) le tracé de la lisse de bastinguage et du livet de pont (ligne de jointure entre le pont et la coque). Partant de ces deux lignes, on peut extrapoler la position de la ligne d'eau (où le flanc de la coque coupe la surface de l'eau).
4) C'est une méthode simplifiée, mais pour CE TYPE de bateau, l'erreur sera minime.
Enfin, pour ceux que ce travail de géométrie rebute, une revue de modélisme naval a publié un article sur la construction de ce modèle, avec - je crois - les plans.
Un aperçu sur le site de l'auteur :
http://www.modeliste27.com/sirius-PR.htm
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Je collectionne des vieilles carcasses, puis je les contemple, je les hume. Ensuite je les découpe, je mélange les morceaux, puis je les combine en les collant, les cousant ( si ! ) en cautérisant au besoin. Enfin par une étincelle (12 000 mV max) je leur redonne vie. Dr SixtifensteinEntraide, Tolérance, Diversité, Imagination, Convivialité, Persévérance
Bien faire et laisser dire.
matériel;
calva;
atelier;
Craquetot