Oui, trop facile... Quoi que...
D'expérience, je trouve plus facile les grands rayons.
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Rendez vous des passionnés des trains à voie étroite ou métrique, qui souhaitent un endroit pour discuter, pour se rencontrer, sans se prendre la tête et dans la bonne humeur !
Dans l'atelier de Sixtifs
Modérateur: SteamyStef
Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Marcel » 28 12 2009 à 16:37
MJModélisme
Le temps dégage le charme de choses qui n'en n'ont pas. C'est pourquoi le temps est poète. (V.Jankélévitch)
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 28 12 2009 à 22:23
Et maintenant une histoire de coeur.
Mais quel angle pour la pointe du coeur
Retour sur le plan, tracé des rayons à l'endroit du coeur (en rouge, normal pour un coeur)
mesure de l'angle, ici 12,5°
callage du profilé de rail dans les machoires de l'étau selon la moitié de l'angle de coeur
prêt à limer
après le même travail sur l'autre segment de rail du coeur, courbage et soudure
Le coeur est prêt à être soudé sur les traverses
Mais quel angle pour la pointe du coeur
Retour sur le plan, tracé des rayons à l'endroit du coeur (en rouge, normal pour un coeur)
mesure de l'angle, ici 12,5°
callage du profilé de rail dans les machoires de l'étau selon la moitié de l'angle de coeur
prêt à limer
après le même travail sur l'autre segment de rail du coeur, courbage et soudure
Le coeur est prêt à être soudé sur les traverses
________________________________________________________________________________
Je collectionne des vieilles carcasses, puis je les contemple, je les hume. Ensuite je les découpe, je mélange les morceaux, puis je les combine en les collant, les cousant ( si ! ) en cautérisant au besoin. Enfin par une étincelle (12 000 mV max) je leur redonne vie. Dr Sixtifenstein
Entraide, Tolérance, Diversité, Imagination, Convivialité, Persévérance
Bien faire et laisser dire.
matériel; calva; atelier; Craquetot
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 28 12 2009 à 22:38
Les rails extérieurs.
D'abord cintrage. Je l'ai fait sans utiliser ma mimo-cintreuse. Les profilés sont minces, j'ai donc fait cela avec les doigts, et pour partie en prenant appui sur le rebord de mon rapporteur (Oh horreur, utiliser un instrument de mesure pour usiner, c'est un sacrilège).
encoches dans les rails externes à l'endroit des aiguilles mobiles :
mise en place et calage
et soudure
mise en place et calage du second rail extérieur
D'abord cintrage. Je l'ai fait sans utiliser ma mimo-cintreuse. Les profilés sont minces, j'ai donc fait cela avec les doigts, et pour partie en prenant appui sur le rebord de mon rapporteur (Oh horreur, utiliser un instrument de mesure pour usiner, c'est un sacrilège).
encoches dans les rails externes à l'endroit des aiguilles mobiles :
mise en place et calage
et soudure
mise en place et calage du second rail extérieur
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 28 12 2009 à 22:55
Partie électrique : enlèvement du cuivre là où il n'est pas utile.
L'utilisation de rifloirs (limes coudées) rend cela plus facile.
Je n'ai pas pris de photos de cette partie du processus.
Test de la première lame mobile (combinée avec la patte de lièvre)
D'abord on contrôle le point de contact, puis la courbure et ensuite on forme la patte de lièvre
Mise en place presque définitive (le forêt de 1,0 mm sert de cale d'épaisseur)
Après soudure et relachement des multiples bridages j'ai trouvé un problème, l'extrémité libre de la lame rebiquait vers le haut. Par les multiples cambrages (courbure et pate de lièvre) le patin du rail n'était plus plan mais très légèrement vrillé. Démontage, rectification, contrôle au marbre, remise en place et soudure.
Et cette fois est la bonne
L'utilisation de rifloirs (limes coudées) rend cela plus facile.
Je n'ai pas pris de photos de cette partie du processus.
Test de la première lame mobile (combinée avec la patte de lièvre)
D'abord on contrôle le point de contact, puis la courbure et ensuite on forme la patte de lièvre
Mise en place presque définitive (le forêt de 1,0 mm sert de cale d'épaisseur)
Après soudure et relachement des multiples bridages j'ai trouvé un problème, l'extrémité libre de la lame rebiquait vers le haut. Par les multiples cambrages (courbure et pate de lièvre) le patin du rail n'était plus plan mais très légèrement vrillé. Démontage, rectification, contrôle au marbre, remise en place et soudure.
Et cette fois est la bonne
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 28 12 2009 à 23:06
Seconde lame mobile.
Il faut contrôler l'écartement avec le pied à coulisse, la première lame gène pour les gabarits.
Retour en arrière : j'ai soudé les tétons de manoeuvre des lames mobiles avant mise en place de ces dernières.
Un bout de fil de bronze de diamètre 0,5 mm plié à l'équerre (3mm x 5mm) soudé par le gros bout sur le côté du patin de rail.
Ensuite mise en forme et en place des contre rails. Simple, mais il faut respecter l'espacement avec les rails externes (ni trop ni trop peu, 1mm pour le HOe).
Il faut contrôler l'écartement avec le pied à coulisse, la première lame gène pour les gabarits.
Retour en arrière : j'ai soudé les tétons de manoeuvre des lames mobiles avant mise en place de ces dernières.
Un bout de fil de bronze de diamètre 0,5 mm plié à l'équerre (3mm x 5mm) soudé par le gros bout sur le côté du patin de rail.
Ensuite mise en forme et en place des contre rails. Simple, mais il faut respecter l'espacement avec les rails externes (ni trop ni trop peu, 1mm pour le HOe).
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 28 12 2009 à 23:19
Et la suite ?
et bien c'est simple : ça fonctionne.
Aucun problème avec mes engins moteurs à deux essieux ou à bogies de type BB.
Certains engins à 3 essieux ne passent pas sur la branche la plus serrée (rayon 120 mm).
Il fallait s'y attendre.
Pour l'autre aiguillage, je vais tenter un sur-écartement de la branche rayon 120 mm.
A 9,2mm au lieu de 9,0mm, certaines locos passeront peut être.
Conclusion provisoire : je suis content d'avoir fait ce premier pas.
Merci à tous ceux qui m'y ont encouragé et ont publié plans et explications, sur PME, sur d'autres forums et sites (anglais et allemands, Frank Jacob ), ou en expo (Alain Mourlhou, la joyeuse bande de l'ESM ...).
Et j'en oublie
Pour un premier essai, une aiguille à une branche droite serait plus simple, mais l'aiguille enroulée n'est pas insurmontable.
et bien c'est simple : ça fonctionne.
Aucun problème avec mes engins moteurs à deux essieux ou à bogies de type BB.
Certains engins à 3 essieux ne passent pas sur la branche la plus serrée (rayon 120 mm).
Il fallait s'y attendre.
Pour l'autre aiguillage, je vais tenter un sur-écartement de la branche rayon 120 mm.
A 9,2mm au lieu de 9,0mm, certaines locos passeront peut être.
Conclusion provisoire : je suis content d'avoir fait ce premier pas.
Merci à tous ceux qui m'y ont encouragé et ont publié plans et explications, sur PME, sur d'autres forums et sites (anglais et allemands, Frank Jacob ), ou en expo (Alain Mourlhou, la joyeuse bande de l'ESM ...).
Et j'en oublie
Pour un premier essai, une aiguille à une branche droite serait plus simple, mais l'aiguille enroulée n'est pas insurmontable.
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Marcel » 29 12 2009 à 00:27
Bravo, beau résultat pour un premier essai ! :^)
(encore un tuto ajouté à ma collection!)
Pour tes calibres, tu peux évider l'intérieur de façon à pouvoir les utiliser même après la pose de la première aiguille.
Une interrogation quant au décapage des traverses : tes lames mobiles ne sont tenues que par la patte de lièvre ?... Tu ne pourras pas isoler le coeur.
C'est vrai que ça doit être assez court au final comme appareil de voie (quelle lonqueur ?).
(encore un tuto ajouté à ma collection!)
Pour tes calibres, tu peux évider l'intérieur de façon à pouvoir les utiliser même après la pose de la première aiguille.
Une interrogation quant au décapage des traverses : tes lames mobiles ne sont tenues que par la patte de lièvre ?... Tu ne pourras pas isoler le coeur.
C'est vrai que ça doit être assez court au final comme appareil de voie (quelle lonqueur ?).
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Punavai » 29 12 2009 à 05:40
Sixtifs et Marcel, vous êtes trop forts ! ! ! 
Félicitations pour votre travail.
Meilleurs voeux pour mener à bien vos projets ferroviaires au cours de l'année 2010, car vous êtes sur la bonne voie
Félicitations pour votre travail.
Meilleurs voeux pour mener à bien vos projets ferroviaires au cours de l'année 2010, car vous êtes sur la bonne voie
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 29 12 2009 à 09:50
Le choix du coeur
Mes deux lames mobiles sont reliées électriquement au coeur.
Il n'y a ainsi aucune lacune électrique.
De plus, un petit interrupteur à levier placé sous l'aiguille assurera des fonctions électriques et mécaniques :
- connection du coeur à l'un ou l'autre des rails externes, ainsi pas d'aléa de contact
- appui mécanique des lames mobiles de l'un ou de l'autre côté
Cela impose de faire des coupures électriques sur les rails après l'aiguille.
C'est le mode "Electrofrog" de PECO.
La découpe des traverses.
J'ai pris une plaque d'epoxy cuivré simple face épaisseur 1,6 mm (il existe aussi du 0,8mm).
Je l'ai découpée en bandes de 3 mm de large environ avec une scie sauteuse équipée de lame pour métaux.
Avancer doucement en faisant tourner la machine à vitesse maximale et avec soufflage (si elle en est équipée).
On peut tolérer de légers zigzags (mais ne pas faire une trajectoire d'ivrogne exprès).
Pour couper les traverses à longueur, j'ai employé une lame de scie circulaire au diamant montée sur ma mini perceuse (source Multirex).
Puis légère rectification des angles avec une vieille lime.
Les plaques d'epoxy cuivré sont armées de fibre de verre. Cela use les outils. N'utilisez pas vos meilleures limes pour ce matériau. La lame de scie sauteuse sera reconvertie en mini ciseau après usure de ses dents.
Mes deux lames mobiles sont reliées électriquement au coeur.
Il n'y a ainsi aucune lacune électrique.
De plus, un petit interrupteur à levier placé sous l'aiguille assurera des fonctions électriques et mécaniques :
- connection du coeur à l'un ou l'autre des rails externes, ainsi pas d'aléa de contact
- appui mécanique des lames mobiles de l'un ou de l'autre côté
Cela impose de faire des coupures électriques sur les rails après l'aiguille.
C'est le mode "Electrofrog" de PECO.
La découpe des traverses.
J'ai pris une plaque d'epoxy cuivré simple face épaisseur 1,6 mm (il existe aussi du 0,8mm).
Je l'ai découpée en bandes de 3 mm de large environ avec une scie sauteuse équipée de lame pour métaux.
Avancer doucement en faisant tourner la machine à vitesse maximale et avec soufflage (si elle en est équipée).
On peut tolérer de légers zigzags (mais ne pas faire une trajectoire d'ivrogne exprès).
Pour couper les traverses à longueur, j'ai employé une lame de scie circulaire au diamant montée sur ma mini perceuse (source Multirex).
Puis légère rectification des angles avec une vieille lime.
Les plaques d'epoxy cuivré sont armées de fibre de verre. Cela use les outils. N'utilisez pas vos meilleures limes pour ce matériau. La lame de scie sauteuse sera reconvertie en mini ciseau après usure de ses dents.
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par pelican » 29 12 2009 à 11:03
c'est des malades !! 
superbe réalisation et super tuto !!
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PME LE forum des voies Etroites et Métriques
petit train de la Scarpe
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par YVES » 29 12 2009 à 16:15
Très intéressant ! je note avec attention.
Une entreprise qui n'a jamais acheté une Corpet neuve !!! Est-ce bien une compagnie ferroviaire sérieuse ?!...
- YVES
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Beyer-Garrat » 02 01 2010 à 17:44
Superbe boulot Sixtifs 
Astuces
Pour les traverses le circuit imprimé est entaillé au cutter ou avec un outil tranchant (coté cuivre) ,il se casse ensuite en suivant l'incision cela facilite la découpe des nombreuses traverses.
L'isolation peut se faire d'un simple trait de cuter sur la traverse cuirée,notamment autour des pattes de lièvres
J'utilise aussi un ohmétre relié au deux rails en position test (bip) en controle les traverses étant entaillée systématiquement jusqu'à l'arrêt du bip
Astuces
Pour les traverses le circuit imprimé est entaillé au cutter ou avec un outil tranchant (coté cuivre) ,il se casse ensuite en suivant l'incision cela facilite la découpe des nombreuses traverses.
L'isolation peut se faire d'un simple trait de cuter sur la traverse cuirée,notamment autour des pattes de lièvres
J'utilise aussi un ohmétre relié au deux rails en position test (bip) en controle les traverses étant entaillée systématiquement jusqu'à l'arrêt du bip
Retrouvez mes montages passés ou futurs sur ma chaine Youtube :
https://www.youtube.com/channel/UCFlT8znNgdMVARcDg51y8Zg
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par Sixtifs » 03 01 2010 à 22:41
Salut J.P.
J'ai découpé la plaque d'epoxy cuivré en bandes de 3 mm x 200 mm à la scie sauteuse (à la cave), puis recoupé les traverses au disque diamanté (à mon bureau-atelier).
Je préfère éviter de les débitter par cassure.
1) cela risque de faire des ratés (surtout par bandes de 3mm) et donc de la perte.
2) les cassures sont un peu "ébouriffées" et il me faudrait les reprendre à la lime.
Pour l'enlèvement partiel de cuivre, j'ai opéré après soudure du coeur et des rails extérieurs et avant soudure des lames mobiles et contre rails. J'ai préféré limer avec un rifloir bombé plutot que d'entailler, car je pense que les entailles se verront plus après peinture. Mais j'ai procédé par entailles dans des bricolages précédants.
J'ai limé "large" pour éviter tout risque de cours jus plus tard. J'ai largement la place pour une tête de clou sans que celle ci ne fasse strap.
J'ai maintenant fini le deuxième aiguillage enroulé, symétrique du premier.
Je l'ai construit avec un sur-écartement pour la branche de rayon le plus serré (9,2 mm au lieu de 9,0).
Certains chassis à 3 essieux qui ne passaient pas du tout sur mon premier modèle passent bien sur le second.
La suite ?
Une paire d'aiguillages droits avec branche déviée au rayon de 120 mm, un symétrique (Y).
Et ensuite, voir ce que je peux monter avec. Probablement une grande pizza.
Et après ? C'est une autre histoire
J'ai découpé la plaque d'epoxy cuivré en bandes de 3 mm x 200 mm à la scie sauteuse (à la cave), puis recoupé les traverses au disque diamanté (à mon bureau-atelier).
Je préfère éviter de les débitter par cassure.
1) cela risque de faire des ratés (surtout par bandes de 3mm) et donc de la perte.
2) les cassures sont un peu "ébouriffées" et il me faudrait les reprendre à la lime.
Pour l'enlèvement partiel de cuivre, j'ai opéré après soudure du coeur et des rails extérieurs et avant soudure des lames mobiles et contre rails. J'ai préféré limer avec un rifloir bombé plutot que d'entailler, car je pense que les entailles se verront plus après peinture. Mais j'ai procédé par entailles dans des bricolages précédants.
J'ai limé "large" pour éviter tout risque de cours jus plus tard. J'ai largement la place pour une tête de clou sans que celle ci ne fasse strap.
J'ai maintenant fini le deuxième aiguillage enroulé, symétrique du premier.
Je l'ai construit avec un sur-écartement pour la branche de rayon le plus serré (9,2 mm au lieu de 9,0).
Certains chassis à 3 essieux qui ne passaient pas du tout sur mon premier modèle passent bien sur le second.
La suite ?
Une paire d'aiguillages droits avec branche déviée au rayon de 120 mm, un symétrique (Y).
Et ensuite, voir ce que je peux monter avec. Probablement une grande pizza.
Et après ? C'est une autre histoire
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Entraide, Tolérance, Diversité, Imagination, Convivialité, Persévérance
Bien faire et laisser dire.
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Je collectionne des vieilles carcasses, puis je les contemple, je les hume. Ensuite je les découpe, je mélange les morceaux, puis je les combine en les collant, les cousant ( si ! ) en cautérisant au besoin. Enfin par une étincelle (12 000 mV max) je leur redonne vie. Dr Sixtifenstein
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Re: Dans l'atelier de Sixtifs
par YVES » 03 01 2010 à 22:57
Bon, sixtif et Marcel, LA question : vous vous attaquez quand aux aiguillages en 4 files de rails ? 
Admiratif, je suis !!!
Admiratif, je suis !!!
Une entreprise qui n'a jamais acheté une Corpet neuve !!! Est-ce bien une compagnie ferroviaire sérieuse ?!...
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