A propos du béton :
- C'est un matériaux novateur, à la belle époque. Harel de la Noë est un pionnier.
- Sa diffusion fut accélérée par la reconstruction dans le Nord de la France, après la première guerre mondiale.
- Mais l'usage des fers à béton, qui rouillent à la longue, font éclater le béton. De plus, selon des spécialistes de chez Eiffage qui se sont penchés sur la question, à l'époque la composition du béton n'était pas optimale.
- Bref, il n'y a pas que les ouvrages d'art d'Harel de la Noë qui demandent une restauration, après un siècle ; par exemple des églises, reconstruites en utilisant du béton, en Picardie et sur le chemin des Dames ont besoin de gros travaux pour leur remise en état.

Une entreprise qui n'a jamais acheté une Corpet neuve !!! Est-ce bien une compagnie ferroviaire sérieuse ?!...