Plutôt que de se fier aux photos couleur qui, tout le monde le sait, ne sont pas fiables car dépendant de la dominante du film de l'époque (Agfa/Kodak/Anscochrome/Fuji et j'en passe) et des conditions climatiques et de luminosité, la méthode la plus couramment utilisée et
la plus sûre est de poncer doucement une zone toujours "couverte" qui, dans votre cas, n'a pas été décapée au nettoyeur haute pression pour ôter progressivement les couches de peinture successive jusqu'à retrouver la première teinte.
Choisir un
recouvrement de porte ou de capots, sous les éventuels joints en caoutchouc, qui auront l'avantage de ne pas avoir été décolorés par le soleil ou la lune, pour avoir la teinte réelle qui est souvent restée brillante si elle n'a pas été recouverte par une autre couche différente : la peinture au pistolet dont le brouillard s'est insinué
à l'intérieur des capots est aussi une bonne base.
Je n'invente rien, c'est de cette façon que sont restituées les teintes d'origine des voitures anciennes.
Sinon, voici ce que j'avais collecté comme renseignements lors de la rédaction de la Gazette du GEMME rendant hommage à Denise et Roger Mougel en décembre 2011 :
Pour la maquette, Roger préconisait le vert Celtique, il me semble.
Je ne sais pas ce que conseillait Cyril Ducrocq.
Mais les teintes des miniatures sont généralement choisies plus claires que les couleurs véritables.