Oui, années '50, ça le fera aussi : on a peu de doc sur les remorques surbaissées anciennes. Aujourd'hui, c'est Nooteboom qui remporte souvent la mise.
En France, mis à part les surplus US, on a eu Coder, Nicolas (grand spécialiste), Titan et sans doute d'autres dont le nom ne me revient pas comme ça.
Alors le premier qui te fait une réflexion, puisqu'il sait plein de choses, demande lui d'amener des plans constructeur
!!! Comme ça, ce sera constructif.
Première vidéo :
Le Cat
, grosse bête "un peu" hors code, doit effectivement démarrer à l'aide d'un petit moteur auxiliaire, ce qui est assez courant sur la gros matériel de TP équipé de moteurs coupleux. Après, comment se fait la transmission au "vrai" moteur
? Aucune idée, 'faudra que je regarde mais j'ai rien sous la main actuellement et c'est pas tous les jours.
Je pense que le col de cygne, dont on voit bien le principe de "descente" hydraulique (merci Citroën), a été déposé pour 3 raisons :
* poser le plateau au sol pour en assurer la stabilité latérale, vu que l'engin va sortir latéralement
* éviter de fausser quelque chose en conséquence, ou de vriller le châssis du plateau
* limiter la hauteur à descendre.
Et pourquoi le Cat descend-il par le côté ? Parce que ses chenilles en métal auraient détruit la route, même en ligne droite : en général, on visse de gros patins en caoutchouc dur dans le creux les lames métalliques, mais je ne sais pas si cet engin peut en être équipé et c'est un
pognon boulot de dingue qui prend... un certain temps. Sans parler que ces patins ne sont pas légers, et qu'il faut les avoir :
Deuxième vidéo :
Ouaiiis, un Cat D 7 premier modèle
!
Grand classique : le chemin de pneus. Gaffe quand même à ne pas les prendre dans la figure s'ils "giclent" sous les chenilles. Après, on jette les pneus...
Bon, même explication que précédemment : pas de patins caoutchouc et lames des chenilles redoutables.
Mais on n'a affaire qu'à un engin de 15 T
...
Les chenilles de la Menck : ah, je regarderai demain avec les photos d'origine en meilleure déf.
Là, c'est