Tiens, des trucs qui ne sont pas expressément dits - ou pas dits du tout- dans l'article de
Oui qui.
Lors de sa reconstruction en 2004, le Do 24 ATT a été équipé de trains d'atterrissage roulants, ce que n'ont jamais eu les autres modèles : il fallait faire systématiquement usage d'un ber pour les sortir de l'eau.
Ici, un des exemplaires de l'Aéronavale, sur la base de Hyères :
Ce qui a amené une modification des flotteurs, l'excroissance d'extrémité étant nécessitée par le volume du train en position rentrée. Et ce qui a entraîné le déplacement des mâts qui soutiennent l'aile parasol.
Ici, comparaison avec un exemplaire des secours en mer espagnols (SAR). J'ai retourné en symétrie la photo du haut pour une meilleure lecture :
Et puis,
Oui qui ne parle pas du fait que les ailes ont été revues, non seulement pour améliorer la fluidité, mais aussi parce qu'elles sont
en acier. Il fallait bien ça pour encaisser la puissance des nouveaux moteurs turbocompressés... qui n'ont rien à voir avec les moteurs en étoile d'origine.
D'où le surnom de cet l'appareil : "Iron Wing".
...et c'est du solide
!!!
(toutes photos @)
Toujours la truffe au vent, le lapin...