Marrants, ces porte-clés surmoulés. Je sais pas si Monsieur Herpa est au courant...
Bon, on met ça en musique de fond
https://www.youtube.com/watch?v=tLa-iZeTTf8histoire de tenir éveillé 1h28 (avec ce que je me file dans le tuyau pour lutter contre une foutue bronchite, j'en ai besoin), et on attaque.
Démontage à la fraise :
Viiii, caisse en métal, j'abandonne l'idée de la tronçonner telle qu'évoquée plus haut. J'ai une autre "ID" à la place, on verra ça plus tard.
Au passage, récup des bavettes avant, très bien moulées avec les renforts métalliques arrondis typiques des premières années

.
Vitrage avant sans trop de souci : l'ensemble est un seul bloc plié, qui tient par encastrement dans la caisse. À dégager avec un morceau de bois ou de plastique :
Par contre, pour l'arrière, la méga-galère, car collage avec une cyano efficace (tiens, z'ont encore de la Plasty, eux

). Finalement, on peut araser franchement au ras de la carrosserie sans trop de craintes, car les vitrages des hublots sont tellement encastrés, que leur face intérieure n'est pas dans le plan de l'outil qui découpe :
Tableau de bord récupérable facilement, puisqu'il tient avec 2 ergots. Moi, je n'avais pas trop de colle, j'ai pu récupérer un ergot intact, mais c'est pas difficile à refaire.
Par contre, pour les roues, très bien reproduites (modèle avec rebord plat et 4 fentes),
attention : elles ne sont pas collées mais emboîtées à force sur les extrémités crantées des axes en métal. Moralité : j'en ai borseillé une

:
Bon ben voilà, on en est là :
et on a récupéré ça :
'vais me coucher un peu, tiens...