On calcule un micron par mètre et par °C > pour 200 m avec un delta T de 37°c on obtient 7,4 mm
et pour un écartement de 184 mm
c'est déjà un<<déjettemment>>!
Sur la ligne (SNCF) d'Alès à Bessège, plusieurs systèmes de joints de dilatations ont été testés. Comme à l'entrée d'un pont, les rails sont bisautés (comme une mini lame d'aiguillage) et sont maintenus entre des selles de voies d'un type approchant le système "DC". Tout le dispositif est régulièrement graissé.
A distance régulière ont rencontrait ce type d'appareils...
Sur les voies courantes, on neutralise le rail en le préchauffant à une température donnée puis on soude (à l'aluminiothermie) les rails LRS entr'eux. Avec le refroidissement naturel, l'âme du rail se rompt est les futurs dilatations sont contrariées. L'autre système met en action une "tireuse" (presse à l'envers); je m'explique, on calcule une dilatation symbolique et on coupe déjà l'excédent de longueur du rail. Puis on l'étire avec la "tireuse" hydraulique. Lorsqu'entre les rails, il reste environ 12 mm, on soude avec la poudre d'alumine et de fer mélangé.
Y a-t-il un spécialiste voie qui peut confirmer mes propos et peut-être nous en dire davantage, voir mettre des photos?