morvan a écrit:elle en a 2 ou 3 qu'elle fait circuler dans Paris, souvent pour des "évenementiels" pour des boîtes de com ou de pub.
ce sont des TN4H ..............
Tiens , celui des "castors" :

potpotpetitrain a écrit:Oh Morvan du Morvandiau Ca me fait toujours rire ces bus a plateforme arrière je pense toujours quand je vois dans un film par exemple,le receveur tirer sur une chainette pour donner le signal de départ du bus,on a toujours l'impression qu'il tire la chaine des anciennes chasse d'eau des chiottes

Il était fréquent que ce soient les voyageurs qui tirent sur la chaînette, par exemple quand le receveur était à l'intérieur est s'occupait des clients, ou pour faire arrêter le bus en cas d'urgence. Pour ceux qui n'ont pas connu ça, le receveur avait un oblitérateur accroché devant lui par une ceinture d'un type spécial. Il oblitérait les tickets présentés par les voyageurs, vendait des tickets au détail et des carnets plain tarif, faisait des trous avec une pince dans les cartes hebdomadaires.
L'avantage de ces autobus était que l'on pouvait y monter ou en descendre en dehors des arrêts, principalement aux feux rouges. La rambarde de la plate-forme arrière permettait aussi aux cyclistes de s'y accrocher, bien que ce soit dangereux et interdit. J'ai assisté à des conversations entre un cycliste et une autre personnes sur la plate-forme. La plate-forme était un endroit où l'on pouvait fumer.
Selon certaines sources, l'entrée par le milieu à l'arrière aurait été imposée par l'armée pour pouvoir transformer ces autobus en ambulances en cas de mobilisation pour cause de guerre. L'armée française d'abord, puis ensuite l'armée allemande, ne se sont pas privées de réquisitionner les autobus de la STCRP. Après la fin de la guerre, des cadres de ce qui allait devenir la RATP ont essayé de récupérer le maximum d'autobus. Ils en retrouvé un peu partout en Europe, et même en Sibérie.