Le problème, c'est plutôt la désertification progressive de la ville haute de Laon.
A part les habitants, et les lycéens qui fréquentent le lycée Paul Claudel, les flux se font entre les différents quartiers de la ville basse et sa périphérie.
Tout là haut, entre la place de la mairie et la cathédrale, une rue autrefois vivante est aujourd'hui bien triste. La ville a beaucoup souffert, départ des militaires, fermetures d'industries... Le POMA circulait souvent à vide aux heures creuses.

Une entreprise qui n'a jamais acheté une Corpet neuve !!! Est-ce bien une compagnie ferroviaire sérieuse ?!...