.
Bruxelles MIdi : Train chocolaté.

- PME Train chocolaté 1.jpg (29.98 Kio) Vu 2596 fois

- PME Train chocolaté 2.jpg (32.22 Kio) Vu 2596 fois
Le charroi, long de 34,5 mètres, est visible dans le hall de la gare du Midi et ouvre, depuis hier, la Brussels Chocolate Week
Il occupe une grande partie du hall de la gare du Midi. Et tout le monde n’observe que lui. S’allongeant sur 34 mètres de long, le train chocolaté a été scrupuleusement inspecté par des représentants du Guiness book.
Comme pour chaque record homologué, la valse des chiffres donne le tournis. Voyez plutôt : 1.285 kilos de chocolats, 784 heures de travail ont été nécessaires pour mettre sur pied ce convoi sculpté dans le chocolat. Autre particularité : les diverses architectures des wagons traduisent pour chacun une époque différente.
Juste à ses côtés, trône un piano à queue conçu, à l’exception de son clavier, à base de chocolat. Il est prévu que des artistes l’emploient pour jouer des morceaux de jazz ou de musique classique. Derrière ces créations, un artiste maltais : Andrew Farrugia.
Les deux pièces devraient stationner à la gare du Midi jusqu’au 25 novembre. Ensuite, le train – ou en tout cas, une partie de ses wagons – voyagera. “Normalement, il ira au Musée du chocolat à Bruges. Celui de Bruxelles est également intéressé, au même titre que des sociétés privées”, indique Peter De Voght, en charge de la communication pour le festival Choco-Laté. Lequel indique que grâce au vernis de protection, de telles pièces peuvent se conserver longtemps. “Quelques années, certainement !”, affirme-t-il.
De nombreuses autres initiatives ponctuent cette semaine du chocolat, estampillée Brusselicious. Pour tous les amoureux de la fève de cacao, il sera possible de faire des balades autour de ce thème.
Le plus alléchant : ce chocolate pass, vendu au prix de 5 € qui vous permettra de bénéficier, grâce à 10 coupons, de dégustations chez les chocolatiers participants. Enfin, plusieurs restaurateurs bruxellois ont imaginé des recettes alliant épices et arômes chocolatés.
Texte : Journal La dernière heure.
Pierre.
____________________________