CF7C a écrit:#B6
Ca roule alors ! Bon courage et bravo à ceux qui liront jusqu'au bout. Parfois, on doit employer des constructions de phrases un peu "limite" mais bon en se triturant les méninges on y arrive. Je passe la main à qui veut (et j'aurais même d'autres jeux de mots à vous proposer ensuite, si vous le voulez) :
Calamité Chloé
Ceci commence ce conte : ces canards cancanent, couinent car Cécilia Cara chante calmement. Cette cacophonie catastrophique cause cette calamité : ces chiens colériques chassent ces chats câlins courant chez Chloé. Charmée, celle-ci caresse ceux-ci. Comme ces canards criaillent, Chloé cuisine : carottes, choux, concombres, courgettes. Ces composants culinaires cuisent comme certaines citrouilles coûtant cher, cependant ces chiens croient courir comme ces chasseurs cinglés cherchant ces chevreuils. Cette collation composée comme ceci, crevettes, cornichons, chou-fleur compose ce choix carrément comique. Comme cette compilation console ces canards, Chloé crie : « couché » car ces cinq chats chartreux courent contre cette chasse. Constamment, cette cavalcade cumule ces conditions : carambolages, collisions , crash… Comme ce camion carmin couché contre ce chêne, clignotants court-circuités. Ce chauffard conducteur, chauve, communément conspué, conduit ce camion comme cette Chevrolet. Conséquement, ce chauffeur corrompu cause ces chambardements car ce cheval coupe ce chemin. Connu comme ces canassons couleur crème, ce coursier chevauche ces champs, chantant ces cantiques chrétiens. Cette chanson continuelle crève ces cumulo-nimbus couronnant ce ciel clément : changement climatique.
Chloé, cloîtrée, cloue courageusement ces contrevents contre ce cyclone. Cinquante cafards camouflés cavalent contre ces coupes cristallines cachées. Cent coquelicots, cinq chrysanthèmes, cinq cents cyclamens, cent cinq cactus courbent ces caboches contre ce cataclysme. Comment cessera cette chaotique conjoncture ? Chloé continue cette cuisine, changeant ces comportements. Confondue, celle-ci concocte cette curieuse compote : citrons, champignons, cannelle, cachou, cacahuètes. Cette conduite caractérise ces crises cycliques. Chamboulée, Chloé cuit complètement ces condiments : chauds, cramés, consumés, carbonisés. Ciel ! Chagrinée, complexée, celle-ci commence cette concevable chimère : chercher ces changeants cables. Coupables, calcinés, ceux-ci choient comme ces charnues chenilles. Cognant contre ces cables, Chloé contemple cette cheville cassée. Comment contrôler cette circonstance ? Candide, Chloé contemple ceci : ces crochets chutant contre ces colonnes. Comparant cette corde ci-contre, Chloé comprend comment combiner cela : corde, crochets, crapahuter comme ce crabe. Caramba ! Ces cheveux châtain coincés contre ce crampon, ce collier composé comme cette cascade claire coulent contre ce carrelage couleur cendre. Captive, clopinant, cette coquine craint cette cabale. Contre ces choses coalisées, comment continuer ? Cependant, contusionnée, couchée contre cette cave, Chloé conserve cette continuelle convoitise : compenser cette chute.
Concomitamment, cousin Christian, chaudement chaussé, cherche comment conforter Chloé. Christian, camionneur costaud, conduisait ce camion carmin cité ci-dessus, curieuse coïncidence ! Concis, ce chauffard chenu conclut : « consternant ! ». Cette conception cruelle crucifie Chloé. Comme Christian constate ceci, cousine Catherine complique ce conciliabule. Celle-ci conseille : « créons ce concerto, cornemuse, clairon, contrebasse, confetti, cotillons. Creons cette csardas chinoise. Commettons ces cambriolages crapuleux. »
Consolée, Chloé comprend ceci : ces chants, cette comédie comme ce cabaret composite cachent ces cris. Ces chiots chouinant, ces chatons couinant car comment casse-croûter ? Ceux-ci chapardent chocolat, caramel, crêpes, cacao, choppent croustades, cabillaud, céréales. Chassant ces crapauds coassant cabriolant contre cette carpette, ces corbeaux croassant contre ces carreaux, ces chenapans culbutent carafe, cafetière, cabochons, cabossent casseroles, cocottes, cuillers, cassent cendriers, coupes, compotiers. Croquant ces canapés, ces côtelettes, ces chips cachés, chiots, chatons carnivores caracolent comme ces cabris. Chose cocasse, ce calvaire cesse comme Chloé, Christian, Catherine cahotent côte-à-côte. Contemplant ce capharnaüm, ceux-ci constatent ce cadre cauchemardesque : calendriers consciencieusement chiffonnés, catalogues carrément coupés, carnets complètement collés, cahiers carrés chipés, cassettes Columbia cassées, canapés chatoyants crevés, consoles cybernétiquement claquées ; caca comme crottes coulantes coulissent contre cette chic commode cubique coréenne. Choking !
Chloé, consternée, certifie : « cette confusion… ». Catherine coupe : « comment corriger ces catastrophes ? ». Calculant ces conclusions, Chloé complexée compte comment compenser ces calamités. Clouer ces cadres, cadenasser ces comptoirs carrément cabossés, caresser ce canapé crevé. Comprenant cette conjoncture, Catherine compatissante cite ce cliché : « corrigeons cette cauchemardesque coalition. Câlinons ces cabots cagneux, ces chihuahuas croates, caressons ces chats colourpoint. Cadenassons chèvres, chouettes, castors ; claquemurons cygnes, cigognes, cigales ; cloîtrons cerbères, cerfs, campagnols. » Campagnarde, Chloé conceptualise : « chiffrons cette casse » . Crénom ! Courbée comme ces captifs crêpus, celle-ci cire, chiffons carrés
Courbatue, Catherine cherche cette chaude couverture : contre ce carrelage corail congelé, ce chaleureux coussin comble cette coupable carence.