
À l'époque où l'équipe qui portait Expométrique-Villebon sur ses épaules battait de l'aile, pour différentes raisons personnelles qui n'étaient liées ni au train ni à des querelles intestines, Jean-Claude a repris le flambeau de façon un peu... cavalière.
Je ne lui en ai personnellement pas voulu : il était comme ça, Jean-Claude. Il se dévouait pour le train.
Et s'il ne s'était pas investi à fond cette année-là, il n'y aurait pas eu d'Expométrique.
Lors du dernier RailExpo (2019), j'ai été sa tête de turc, même à l'aide de son redoutable micro : Il en fallait une !
Je ne lui en ai pas tenu rigueur, c'était Jean-Claude, et l'on s'est quitté sur une franche poignée de mains.
Depuis la fin des années '80 où j'ai fait sa connaissance, je savais comment il était : grande gueule mais le cœur sur la main.
Le monde des expos "voies étroites" a perdu un meneur.