Hier matin, alors que la volaille volaillait...
Voilà-t-y pas qu'un lorry sort de sa cave...
que des rails sortent de leur stock...
Mais que se passe-t-il donc ?
ON SOUDE !!!
Déjà une des deux traverses manquante en bout de la voie longue :
Comme ça, elle ne manque plus.
Puis, après une intense séance de découpe de rails en petits bouts divers et variés, on commence enfin à voir apparaître des heurtoirs !
En place...
Ou en pièces détachées...
Pourquoi en pièces détachées ?
Parce que si l’extrémité de la voie longue ne se discute pas : heurtoir fixe solidaire des rails; le cas de la voie courte est plus complexe.
Celle-ci arrive en haut du mur de soutènement de l'accès au garage (d'où le nom de "Garage Haut")
Cette situation présente un risque non négligeable qu'un wagon tombe d'un bon mètre de haut, qui plus est potentiellement sur une voiture en stationnement, ce qui nécessite indubitablement la présence d'un heurtoir.
Mais cette situation est aussi avantageuse en ce que ce mur de soutènement est un quai de chargement et de déchargement idéal, étant sensiblement à la hauteur du plateau d'une camionnette. C'est d'ailleurs par là que le matériel fut livré dans les temps jadis.
De même, en prolongeant la voie sur une estacade, on peut assez facilement évacuer des gravois par benne en les vidant dans une remorque routière située sous l'estacade.
Il faut donc que la voie puisse être prolongée. Donc pas de heurtoir !
A moins de concilier les deux impératifs heurtoir-obligatoire/pas-de-heurtoir par la création d'un heurtoir amovible que l'on puisse placer ou retirer à volonté... Option choisie par votre serviteur.
Continuons donc les travaux et la création parallèle et simultanée des deux heurtoirs, le fixe et l'amovible.
D'abord le fixe, enfin quasi-achevé :
Puis l'éclissage des pièces détachées de l'amovible
On fini de lui installer toutes ses pièces transversales, et le voilà lui aussi quasi-achevé :
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