Modérateurs: SteamyStef, pelican
récup'61 a écrit: vos fenêtres de face sont bien trop grandes par rapport au bas de caisse.
Je pense qu'il y a une erreur de proportion...
Ceux qui ont bien connu ces automotrices, 1-2-3 et 11-12 le remarquerons les autres passeront dessus.
récup'61 a écrit:Bonjour,
On se connait, on a échangé plusieurs fois par mail et textos, je suis un conducteur Y S C.
Vous m'aviez dit vouloir réaliser la 4 ou la 5, maintenant vous avez choisi une des Be 2/4.
Si la réalisation est très belle, je dirais très réussie, à moins que ce soit une erreur de perspective de la photo vos fenêtres de face sont bien trop grandes par rapport au bas de caisse.
Je pense qu'il y a une erreur de proportion...
Ceux qui ont bien connu ces automotrices, 1-2-3 et 11-12 le remarquerons les autres passeront dessus.
Sera-t-elle vraiment 2/4 ?
Ou avez-vous commandé deux bogies moteurs?
Pour le reste, nous en avons déjà discuté.
BRAVO et je me réjouis de voir rouler ce beau matériel très évocateur.
récup'61 a écrit:L'automotrice sur la 1 ère photo en tête de votre article est bien la 5 non la 11 ou la 12.
Si vous agrandissez la photo, vous apercevrez sur la plaque relevée (qui sert de passerelle de liaison en très véhicule) qu'elle porte le n° 15, ce qui est une supercherie.
Il n'y a jamais eu d'automotrice 15 à l'Y S C. Lors d'un passage en atelier, un collègue a fait la farce de rajouter à la peinture un 1 devant le 5 et il n'a jamais été enlevé. (Sauf lors de sa dernière mise en peinture).
Ce qui fait d'elle une "grande" et non une des petite motrice dont leur surnom était "Gobelet mélangeur"; lorsqu'ils ont augmenté la vitesse de ligne en certains endroit, ces automotrices de 29 tonnes et 32 places, se sont révélées très "secouantes". Car elles avaient conservé leur bogies d'origines ( SIG), surtout les porteurs.
Je reviendrai, si vous le voulez bien, sur quelques détails historiques et vous donnerai des impressions de conduite prochainement.
récup'61 a écrit:L'histoire de ses automotrices apparait lorsque la compagnie Yverdon-Ste Croix constate que la dotation de 3 automotrices de 440 kW mises en service en 1945 est un peu faible pour faire face au trafic voyageurs et marchandises.
Ils envisagent l'achat d'un quatrième exemplaire, mais très vite la solution de deux motrices plus courtes, puissantes de la moitié, mais coupables en UM est une solutions d'avenir...
Car pour le premier train du matin ou les derniers du soir la capacités est suffisante.
Les 11 et la 12 sont très vite utilisées en UM mais aussi et parfois en UM avec une "grande", car l'équipement de commande électrique est commun au deux types. Par contre les "petites" ont la possibilité de fonctionner en voiture de réversibilité (voiture pilote) par la simple manipulation d'un commutateur...
Les 2/4 ont gardé, tout au long de leur carrière, l'équipement de frein Charmilles d'origine avec des robinets de frein types *1804*
(je n'en ai jamais vu ailleurs) agissant sur un appareil "Varistop". Très capricieux par grands froids!
Le watt-man qui prenait son service, avait intérêt à conserver son journal de la veille, afin de l'enflammer et réchauffer l'appareil situé sous un des poste de conduite. Sans bouter le feu au reste!
Un "alcooliseur" d'air comprimé était disposé à la sortie du compresseur afin d'éviter que cet air sous pression givre trop rapidement; mais cette solution apporta une détérioration des conduites à longs termes. L'alcool ayant la faculté de faire déposer les gouttelettes d'eau sur les parois des tuyaux entraînant l'oxydation prématuré des conduites (rouille).
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