Vers Binic on extrayait deux sortes de sables : la tangue déjà citée qui servait je crois à alléger les terres argileuses et le sable coquiller (ou maërl) extrait aux Iles Saint Quay et utilisé comme engrais.
Ces deux amendements représentaient encore entre 40 et 60 charrettes par jour à Binic dans les périodes de gros coefficients.
Le maërl (extrait vers Bréhat) est encore utilisé aujourd'hui, transformé par l'usine SECMA de Pontrieux.