Dans la remise, tu peux aussi entreposer une multitude de fourches, pelles et autres zoutils zagricoles, qui se vendaient bien. Et surtout un tas de manches. Les pierres à affuter les faux, ça va faire un peu petit...
Des touries, très prisées des bouilleurs de cru (et non le contraire
), nombreux avant que l'état ne s'accapare le droit de distiller... et les taxes qui vont avec.
Des pneus de vélos, 750 B 1/2 confort de l'époque (si tu veux les dimensions, j'ai ça. mais ça revient à la mode).
Des lampes à pétrole, des ustensiles de cuisine, et tout ce qui est lourd, un seul exemplaire étant exposé en magasin : cuisinières, poêles à bois ou à charbon.
Des seaux, des bacs à lessive et tout un tas d'autres objets en fer blanc ou zingués, généralement livrés "emboîtés" avec une feuille de papier journal entre eux pour éviter les rayures.
Et des montagnes de boîtes contenant clous et vis : je me souviens, étant "drôle" (gosse, môme, gone), de rayons entiers d'étagères, dans la quincaillerie Breuil de St Martin, devenue Breuil-Chansigaud et quasiment inchangée. Sauf l'ordi caché derrière le tablier du comptoir d'époque :
http://www.quincaillerie-retaise.com/https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 60549.html
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- Breuil 2.jpg (54.68 Kio) Vu 5306 fois
(Là, c'est le magasin
).
Évidemment, si tu laisses la porte de la remise ouverte, il faudra mettre un surveillant, ou le justifier par un approvisionnement en cours par exemple. Enfin moi, je verrais bien la chose comme ça.
Et n'oublie pas de laisser une place libre au milieu pour rentrer la remorque de livraison
!