Défi dio-RAMMA : Tout va très bien Madame la Marquise !

Je récupère ma Kez Aven demain midi et donc j'ai décidé d'essayer de vous exposer un peu plus précisément le cadre et les circonstance de la scène en question.
Je ne saurai pas vous faire un dessin comme kazh à strophes ou d'autres qui ne manqueront pas d'être aussi talentueux en dessin qu'en train donc on va s'en passer !
Pont-Peymois est une petite bourgade fictive située sur les bords du Ciron. Sur les coteaux bordant la minuscule rivière, affluent comme chacun sait de la Garonne, on cultive le Sémillon, la Muscadelle et le Sauvignon gris, ingrédients malgré eux du délicieux nectar de Sauternes. On dit même qu'au début du siècle dernier les Lur Saluces lorgnaient sur le haut des coteaux de la rive droite de la commune.
Las un projet ferroviaire allait empêcher l'extension du domaine d'Yquem !
C'est en effet à cette époque que le Marquis de Peymois, unique enfant d'Albert et Eugènie, Léon Charles de son prénom et entrepreneur de son état, céda au département certaines de ses meilleures parcelles à flanc de coteau. Le projet de VFIL de Sauternes à Pauillac était né !
A la même époque, le Marquis épousa en seconde noce Ursuline de Saint Jean Kerdaniel,d'une famille d'armateurs et négociants à Pontrieux dans les Cotes du Nord.
C'est elle, devenue Madame la Marquise de Pont-Peymois, comme l'appelle les ouvriers du Domaine, et son frère Hyppolite (dit le Gentil, personne ne sait trop pourquoi), devenu régisseur du Domaine, qui vont insister auprès de Léon Charles pour mettre en œuvre dans la vallée du Ciron les méthodes qui ont si bien réussies aux De Saint Jean en Bretagne Nord.
En 1908, un embarcadère sur le Ciron et une halte à proximité (au milieu des terres des Peymois) sur le nouveau chemin de fer sont ainsi érigés pour faciliter la diffusion dans toute la région des produits (vins en barrique, marc et bois de mine des forêts de l'arrière pays appartenant à la famille.
La suite au prochain épisode avec la "fabuleuse équipée" du 14 juillet 1910.
Je ne saurai pas vous faire un dessin comme kazh à strophes ou d'autres qui ne manqueront pas d'être aussi talentueux en dessin qu'en train donc on va s'en passer !

Pont-Peymois est une petite bourgade fictive située sur les bords du Ciron. Sur les coteaux bordant la minuscule rivière, affluent comme chacun sait de la Garonne, on cultive le Sémillon, la Muscadelle et le Sauvignon gris, ingrédients malgré eux du délicieux nectar de Sauternes. On dit même qu'au début du siècle dernier les Lur Saluces lorgnaient sur le haut des coteaux de la rive droite de la commune.
Las un projet ferroviaire allait empêcher l'extension du domaine d'Yquem !

C'est en effet à cette époque que le Marquis de Peymois, unique enfant d'Albert et Eugènie, Léon Charles de son prénom et entrepreneur de son état, céda au département certaines de ses meilleures parcelles à flanc de coteau. Le projet de VFIL de Sauternes à Pauillac était né !

A la même époque, le Marquis épousa en seconde noce Ursuline de Saint Jean Kerdaniel,d'une famille d'armateurs et négociants à Pontrieux dans les Cotes du Nord.
C'est elle, devenue Madame la Marquise de Pont-Peymois, comme l'appelle les ouvriers du Domaine, et son frère Hyppolite (dit le Gentil, personne ne sait trop pourquoi), devenu régisseur du Domaine, qui vont insister auprès de Léon Charles pour mettre en œuvre dans la vallée du Ciron les méthodes qui ont si bien réussies aux De Saint Jean en Bretagne Nord.


En 1908, un embarcadère sur le Ciron et une halte à proximité (au milieu des terres des Peymois) sur le nouveau chemin de fer sont ainsi érigés pour faciliter la diffusion dans toute la région des produits (vins en barrique, marc et bois de mine des forêts de l'arrière pays appartenant à la famille.
La suite au prochain épisode avec la "fabuleuse équipée" du 14 juillet 1910.
