Pour que l'on puisse encore réver, les chemins de fer de l'ardèche ont repris par la suite les TA décédé la veille de la première guerre mondiale, quelques antennes délaissées par la SNCF et une partie des CFD en projet.
Pour des raisons de coût, la voie posée sur le tracé déjà amputé fut une voie de 75 cm, le matériel fut et est très hétéroclite et est composé de beaucoup d'occasions avec quelques coups de coeur des actionnaires locaux : quelques autorails en voie métrique mis en voie étroite.
De nouvelles gares ont pu être construites ainsi que l'achat de locomotives puissantes pour permettre une puissante traction devant l'économie reflorissante du chemin de fer, le train même faisant des contours est resté plus rapide que les transports routiers.
De nos jours, les CFA ont deux branches : l'une pour le service local et l'autre pour le tourisme ; à ce titre là sont gardées beaucoup de matériel, y compris en voie métrique dans l'attente de fonds.
Ainsi, les premiers modules d'une longueur totale de 2m de long recouvrent une portion de voie unique avec une gare terminus faite de bric et broc.
La région est assez aride, en plateau balayée par les vents d'où la locomotive puissante pour tirer les deux voitures, fleurons des CFA achetés tous en Autriche, la matériel français n'étant vraiment pas courant.
La gare est un peu déserte, normal au crépuscule avant le départ au lendemain matin pour les personnes des villages alentours travaillant dans la vallée :
Il reste encore pas mal de choses à faire, toute la végétation, et les pavés à finir. Et après, ce sera un autre morceau après le tunnel, une petite gare d'échange surtout de voyageurs VN / VE.
