La ligne de Caselles...

Bonjour à tous,
comme promis voici une petite présentation générique de cette ligne que, j'en suis certain, vous allez apprendre à connaitre dans les prochains mois !
La petite histoire de la petite ligne de Caselles…
CASELLES ET SON LITTORAL :
Située aux confins de 2 grands pays, la France et l’Italie, dont elle a grandement été influencée, la Principauté de Caselles se distingue par sa ville capitale, Caselles, sise au bord de la méditerranée, cité de petite taille avec seulement 5 000 hbitants, mais de renommée internationale grâce notamment à son port de commerce, et un littoral toujours préservé.
A quelques kilomètres à l'ouest de la Capitale, la côte demeure en de maints endroits, vierge de toute construction et de toute route. De petits villages, ayant conservé un cachet unique, viennent ça et là apporter un peu d'animation entre forêts et dunes de sable blanc. La situation privilégiée, un micro climat, un ensoleillement maximal en ont fait, loin des rumeurs de la ville, un havre de paix unique, pour celui qui veut se reposer et profiter des bienfaits d’une nature préservée.
PREMIERS PROJETS D’UNE LIGNE DE CHEMIN DE FER :
A sa création en 1860, la Principauté inscrit parmi les principaux projets, l’établissement d’une liaison par chemin de fer de Caselles à Villa-Aurelio par le littoral.
Villa-Aurelio, alors jeune cité Italienne en 1864, voit arriver de Gênes le "grand" chemin de fer.
Du tramway, en passant par une conventionnelle ligne de chemin de fer, au fil des années qui passent, les projets éclosent, sans pour autant aboutir. Caselles est toujours enclavée !
1914 : à la veille du premier conflit mondial, le ministère des transports décide de la construction d'une route accolée à une ligne de chemin de fer vers Cap-des-Pins et Villa-Aurélio (qui ne sont jusqu’alors accessibles que via un mauvais sentier serpentant à travers le maquis et les dunes de sable), équipements qui permettront de rejoindre aisément les premiers hôtels alors en construction tout au long du littoral.
La guerre stoppe ces projets, et seule une frêle plateforme munie d'une voie de 60 est créée afin d'approvisionner les différents chantiers de construction des hôtels, dont le fameux "Impérial Palace", inauguré en 1928. C’est à cette époque que reprennent les études pour la construction de la ligne de chemin de fer le long de la côte ; voie normale, métrique, étroite, tracé, localisation des gares et haltes… il faudra 8 années de palabres (malgré la volonté des principaux propriétaires d’hôtels qui voient d’un très bon œil l’arrivée du train) pour enfin voir les premiers terrassements débuter, le 8 août 1936.
LE CHOIX DE LA VOIE ETROITE
Dès le début des travaux, de nombreuses reprises de tracé sont nécessaires, eu égard à la topographie locale, et aux qualités de terrains rencontrées. Prévue à l’origine à l’écartement 1,435m, c’est la voie étroite qui sera retenue, alors que déjà plusieurs ouvrages ont été dimensionnés au gabarit voie normale ; le choix de la voie étroite permet dès lors de porter le rayon minimum à 100m, bon compromis qui permet de conserver une bonne vitesse minimum, avec des rectifications de tracé réalistes. La voie étroite permet aussi un avancement des travaux plus rapide, car la réutilisation de la plateforme primaire est ainsi possible sans grands terrassements supplémentaires. Les puissants hôteliers du littoral souhaitent une ouverture de la ligne avant la saison d’été 1937, pour qu'enfin de "grands hôtes de marque" puissent arriver confortablement dans les palaces.
Alors très en vogue, la traction électrique en courant continu 750 volts est adoptée, un simple cable courant au-dessus des voies, porté par d'originaux supports en bois.
5 automotrices d'origine Suisse sont acquises à partir de 1936, qui formeront la série 30-34, dont trois exemplaires circulent encore de nos jours ! (30, 31, 34)
L’INAUGURATION
3 mai 1937 : la ligne est inaugurée en un temps record, seulement après 8 mois de travaux !
Désormais les « Casellans du littoral » bénéficient d’une liaison commode avec la « Capitale », peuvent se rendre en Europe grâce à la correspondance en gare de Villa-Aurelio, et peuvent continuer à se passer d'une route sur le bord de mer, du moins directe.
TRAIN OU TRAM ?
Jamais depuis son ouverture le train n’a porté ce nom… les habitants et touristes le nomment dès l'ouverture « tram » en raison des formes des automotrices de l'époque (série 30 à 34), des arrêts très rapprochés, et du cadencement horaire en vigueur dès 1937. Les agents du réseau tiennent quant à eux au terme de "train" lorque l'on évoque la ligne de Caselles
LES AUTRES AMENAGEMENTS DU LITTORAL :
Les années cinquante et soixante, où la voiture envahit peu à peu l’espace, voient aboutir le projet de "route de l’ouest", transitant toutefois bien plus dans les terres que la ligne de chemin de fer, inaugurée en 1959. Cette route aide au « désenclavement » des petits villages du littoral, grâce à sa forme de peigne. Le 31 mai 1967, après 30 années de service, la ligne est empruntée par une majorité de vacanciers, heureux de pouvoir goûter aux joies de plages tranquilles, et des panoramas sans cesse renouvelés. Le doublement de la route 55 dite "de l'ouest" est effectif en été de cette même année, permettant un accès encore plus rapide aux voitures vers Villa-Aurelio et les villages du littoral.
LES INCERTITUDES DES ANNEES 70 :
Avec cette relation routière largement calibrée, l’abandon du train, jugé désuet et malcommode, est évoqué à plusieurs reprises au début des années 70. Le train donne une image ringarde de la Principauté, avec ses vieilles voitures rouges, sa voie envahie d'herbe et sa caténaire qui pendouille ici-et-là...
Un projet de desserte routière, réutilisant et élargissant la plateforme ferroviaire, est proposé aux populations et hôteliers du littoral ; une majorité d’habitants rejète d’un bloc ce projet, arguant du fait que notamment, une route directe existe déjà plus au nord, et que le train apporte un plus touristique indéniable (ndlr : déjà à l'époque).
Le choc pétrolier de 1974 mettra en veille le projet route "55 bis" dite « du littoral ». Les "caténaires pendouillantes" décriées plus haut ont vraisemblablement sauvé la ligne, avec la robustesse des automotrices ne bénéficiant que d'un entretien minimum.
Les années 80 voient, bien avant d’autres pays, une prise de conscience des politiques Casellans sur le développement durable ; il est ainsi décidé que le littoral servira de laboratoire.
LE LITTORAL CASELLAN, LABORATOIRE DU DEVELOPPEMENT DURABLE :
1987 voit la création d’un « consiglio d’ornato » (conseil d’ornement) sur le littoral, à l’adresse des habitants et professionnels ; ce collège, composé de représentants locaux, et de politiques Casellans, édite des normes, règlements sur tout ce qui a trait à l’aménagement dudit littoral (architecture, patrimoine, aménagements routiers, transports collectifs, implantations diverses…). Le consiglio d’ornato fait ainsi démolir plusieurs bâtisses, interdit les panneaux publicitaires, et fait enfouir toutes les lignes électriques (l'on s'intéresse alors à une traction par batteries, logées dans un wagon, que chaque automotrice se verrait adjoindre, mais le coût, allié à la mauvaise fiabilité et au manque de puissance auront raison de ce projet).
Toujours en 1987, 2 automotrices d'occasion, les 35 et 36, arrivent à Caselles, alors que les 32 et 33 sont officiellement retirées des inventaires, servant de magasin de pièces détachées aux 30,31 et 34

LE CONSIGLIO D’ORNATO ET LE RENOUVEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS :
13 juillet 1997 : le consiglio d’ornato, après entente avec le Parlement Casellan, décide de bannir la voiture de plusieurs points du littoral, et de favoriser les transports collectifs et les modes doux comme le vélo et la marche à pied. Un ambitieux plan décennal est ainsi dévoilé, avec restrictions progressives de circulation des véhicules particuliers, création de parkings de rabattement, reprise et amélioration des sentiers tout au long du littoral, et renforcement à terme de la desserte par tram (train).
Pour le train, il est décidé de revoir totalement l’infrastructure de la voie, de reprendre toute l'alimentation électrique (poteaux et LAC), de (re)créer des haltes, évitements, d’en supprimer d’autres, et de restaurer le matériel roulant ancien.
La ligne ainsi modernisée doit fonctionner tous les jours, de 7h00 à 20h00 à la cadence horaire, puis bi-horaire après équipement d'une signalisation lumineuse. Les gares et haltes seront munies de plans de situation des sentiers.
LA RENAISSANCE DU « TRAM » TRAIN DE CASELLES
Les premiers travaux de voie ne débutent qu’en 2005 et devraient aboutir fin 2007 ; ces travaux consistent en la substitution des rails d’origine, fatigués et plus toujours très droits, par des coupons « lourds » de 80m, avec reprise de la géométrie de la voie permettant de relever la vitesse sur l’ensemble de la ligne.
La ligne sera découpée en cantons avec équipement d’un block automatique moderne, permettant de créer une desserte renforcée pendant toute l'année.
Les gares seront rafraîchies dans le style d'origine, les trottoirs seront refaits, et équipés d’un éclairage.
Un atelier d’entretien digne de ce nom sort actuellement de terre. L’inauguration de ces nouvelles installations devrait avoir lieu en fin d’année 2007.

Avec 500 000 voyageurs par an, la ligne de Caselles démontre qu’elle est devenue au fil des ans un outil indispensable pour les populations et touristes, et qu’elle contribue avec les autres modes de transport collectif (bus, bateaux…) au développement doux de cette partie du territoire, dans une région où de nombreuses erreurs ont été commises par le passé.
(à venir, étude technique et exploitation).
comme promis voici une petite présentation générique de cette ligne que, j'en suis certain, vous allez apprendre à connaitre dans les prochains mois !

La petite histoire de la petite ligne de Caselles…
CASELLES ET SON LITTORAL :
Située aux confins de 2 grands pays, la France et l’Italie, dont elle a grandement été influencée, la Principauté de Caselles se distingue par sa ville capitale, Caselles, sise au bord de la méditerranée, cité de petite taille avec seulement 5 000 hbitants, mais de renommée internationale grâce notamment à son port de commerce, et un littoral toujours préservé.
A quelques kilomètres à l'ouest de la Capitale, la côte demeure en de maints endroits, vierge de toute construction et de toute route. De petits villages, ayant conservé un cachet unique, viennent ça et là apporter un peu d'animation entre forêts et dunes de sable blanc. La situation privilégiée, un micro climat, un ensoleillement maximal en ont fait, loin des rumeurs de la ville, un havre de paix unique, pour celui qui veut se reposer et profiter des bienfaits d’une nature préservée.
PREMIERS PROJETS D’UNE LIGNE DE CHEMIN DE FER :
A sa création en 1860, la Principauté inscrit parmi les principaux projets, l’établissement d’une liaison par chemin de fer de Caselles à Villa-Aurelio par le littoral.
Villa-Aurelio, alors jeune cité Italienne en 1864, voit arriver de Gênes le "grand" chemin de fer.
Du tramway, en passant par une conventionnelle ligne de chemin de fer, au fil des années qui passent, les projets éclosent, sans pour autant aboutir. Caselles est toujours enclavée !
1914 : à la veille du premier conflit mondial, le ministère des transports décide de la construction d'une route accolée à une ligne de chemin de fer vers Cap-des-Pins et Villa-Aurélio (qui ne sont jusqu’alors accessibles que via un mauvais sentier serpentant à travers le maquis et les dunes de sable), équipements qui permettront de rejoindre aisément les premiers hôtels alors en construction tout au long du littoral.
La guerre stoppe ces projets, et seule une frêle plateforme munie d'une voie de 60 est créée afin d'approvisionner les différents chantiers de construction des hôtels, dont le fameux "Impérial Palace", inauguré en 1928. C’est à cette époque que reprennent les études pour la construction de la ligne de chemin de fer le long de la côte ; voie normale, métrique, étroite, tracé, localisation des gares et haltes… il faudra 8 années de palabres (malgré la volonté des principaux propriétaires d’hôtels qui voient d’un très bon œil l’arrivée du train) pour enfin voir les premiers terrassements débuter, le 8 août 1936.
LE CHOIX DE LA VOIE ETROITE
Dès le début des travaux, de nombreuses reprises de tracé sont nécessaires, eu égard à la topographie locale, et aux qualités de terrains rencontrées. Prévue à l’origine à l’écartement 1,435m, c’est la voie étroite qui sera retenue, alors que déjà plusieurs ouvrages ont été dimensionnés au gabarit voie normale ; le choix de la voie étroite permet dès lors de porter le rayon minimum à 100m, bon compromis qui permet de conserver une bonne vitesse minimum, avec des rectifications de tracé réalistes. La voie étroite permet aussi un avancement des travaux plus rapide, car la réutilisation de la plateforme primaire est ainsi possible sans grands terrassements supplémentaires. Les puissants hôteliers du littoral souhaitent une ouverture de la ligne avant la saison d’été 1937, pour qu'enfin de "grands hôtes de marque" puissent arriver confortablement dans les palaces.
Alors très en vogue, la traction électrique en courant continu 750 volts est adoptée, un simple cable courant au-dessus des voies, porté par d'originaux supports en bois.
5 automotrices d'origine Suisse sont acquises à partir de 1936, qui formeront la série 30-34, dont trois exemplaires circulent encore de nos jours ! (30, 31, 34)
L’INAUGURATION
3 mai 1937 : la ligne est inaugurée en un temps record, seulement après 8 mois de travaux !
Désormais les « Casellans du littoral » bénéficient d’une liaison commode avec la « Capitale », peuvent se rendre en Europe grâce à la correspondance en gare de Villa-Aurelio, et peuvent continuer à se passer d'une route sur le bord de mer, du moins directe.
TRAIN OU TRAM ?
Jamais depuis son ouverture le train n’a porté ce nom… les habitants et touristes le nomment dès l'ouverture « tram » en raison des formes des automotrices de l'époque (série 30 à 34), des arrêts très rapprochés, et du cadencement horaire en vigueur dès 1937. Les agents du réseau tiennent quant à eux au terme de "train" lorque l'on évoque la ligne de Caselles
LES AUTRES AMENAGEMENTS DU LITTORAL :
Les années cinquante et soixante, où la voiture envahit peu à peu l’espace, voient aboutir le projet de "route de l’ouest", transitant toutefois bien plus dans les terres que la ligne de chemin de fer, inaugurée en 1959. Cette route aide au « désenclavement » des petits villages du littoral, grâce à sa forme de peigne. Le 31 mai 1967, après 30 années de service, la ligne est empruntée par une majorité de vacanciers, heureux de pouvoir goûter aux joies de plages tranquilles, et des panoramas sans cesse renouvelés. Le doublement de la route 55 dite "de l'ouest" est effectif en été de cette même année, permettant un accès encore plus rapide aux voitures vers Villa-Aurelio et les villages du littoral.
LES INCERTITUDES DES ANNEES 70 :
Avec cette relation routière largement calibrée, l’abandon du train, jugé désuet et malcommode, est évoqué à plusieurs reprises au début des années 70. Le train donne une image ringarde de la Principauté, avec ses vieilles voitures rouges, sa voie envahie d'herbe et sa caténaire qui pendouille ici-et-là...
Un projet de desserte routière, réutilisant et élargissant la plateforme ferroviaire, est proposé aux populations et hôteliers du littoral ; une majorité d’habitants rejète d’un bloc ce projet, arguant du fait que notamment, une route directe existe déjà plus au nord, et que le train apporte un plus touristique indéniable (ndlr : déjà à l'époque).
Le choc pétrolier de 1974 mettra en veille le projet route "55 bis" dite « du littoral ». Les "caténaires pendouillantes" décriées plus haut ont vraisemblablement sauvé la ligne, avec la robustesse des automotrices ne bénéficiant que d'un entretien minimum.
Les années 80 voient, bien avant d’autres pays, une prise de conscience des politiques Casellans sur le développement durable ; il est ainsi décidé que le littoral servira de laboratoire.
LE LITTORAL CASELLAN, LABORATOIRE DU DEVELOPPEMENT DURABLE :
1987 voit la création d’un « consiglio d’ornato » (conseil d’ornement) sur le littoral, à l’adresse des habitants et professionnels ; ce collège, composé de représentants locaux, et de politiques Casellans, édite des normes, règlements sur tout ce qui a trait à l’aménagement dudit littoral (architecture, patrimoine, aménagements routiers, transports collectifs, implantations diverses…). Le consiglio d’ornato fait ainsi démolir plusieurs bâtisses, interdit les panneaux publicitaires, et fait enfouir toutes les lignes électriques (l'on s'intéresse alors à une traction par batteries, logées dans un wagon, que chaque automotrice se verrait adjoindre, mais le coût, allié à la mauvaise fiabilité et au manque de puissance auront raison de ce projet).
Toujours en 1987, 2 automotrices d'occasion, les 35 et 36, arrivent à Caselles, alors que les 32 et 33 sont officiellement retirées des inventaires, servant de magasin de pièces détachées aux 30,31 et 34

LE CONSIGLIO D’ORNATO ET LE RENOUVEAU DES TRANSPORTS COLLECTIFS :
13 juillet 1997 : le consiglio d’ornato, après entente avec le Parlement Casellan, décide de bannir la voiture de plusieurs points du littoral, et de favoriser les transports collectifs et les modes doux comme le vélo et la marche à pied. Un ambitieux plan décennal est ainsi dévoilé, avec restrictions progressives de circulation des véhicules particuliers, création de parkings de rabattement, reprise et amélioration des sentiers tout au long du littoral, et renforcement à terme de la desserte par tram (train).
Pour le train, il est décidé de revoir totalement l’infrastructure de la voie, de reprendre toute l'alimentation électrique (poteaux et LAC), de (re)créer des haltes, évitements, d’en supprimer d’autres, et de restaurer le matériel roulant ancien.
La ligne ainsi modernisée doit fonctionner tous les jours, de 7h00 à 20h00 à la cadence horaire, puis bi-horaire après équipement d'une signalisation lumineuse. Les gares et haltes seront munies de plans de situation des sentiers.
LA RENAISSANCE DU « TRAM » TRAIN DE CASELLES
Les premiers travaux de voie ne débutent qu’en 2005 et devraient aboutir fin 2007 ; ces travaux consistent en la substitution des rails d’origine, fatigués et plus toujours très droits, par des coupons « lourds » de 80m, avec reprise de la géométrie de la voie permettant de relever la vitesse sur l’ensemble de la ligne.
La ligne sera découpée en cantons avec équipement d’un block automatique moderne, permettant de créer une desserte renforcée pendant toute l'année.
Les gares seront rafraîchies dans le style d'origine, les trottoirs seront refaits, et équipés d’un éclairage.
Un atelier d’entretien digne de ce nom sort actuellement de terre. L’inauguration de ces nouvelles installations devrait avoir lieu en fin d’année 2007.

Avec 500 000 voyageurs par an, la ligne de Caselles démontre qu’elle est devenue au fil des ans un outil indispensable pour les populations et touristes, et qu’elle contribue avec les autres modes de transport collectif (bus, bateaux…) au développement doux de cette partie du territoire, dans une région où de nombreuses erreurs ont été commises par le passé.
(à venir, étude technique et exploitation).