Turlututu
...
La suite...
J'ai posé mes planches de rive, vieillies auparavant, et les faîtières. Vous allez voir ça sur les photos qui suivent.
Et puis j'ai fait le 2e escalier, celui qui dessert la porte beaucoup trop basse (1,45 m) en pignon : si je m'en étais aperçu avant de faire mon bardage, je l'aurais agrandie.
Là, j'ai eu la flemme... et surtout la crainte de détériorer ledit bardage en bois d'arbre véritable.
J'aimerais d'ailleurs bien savoir quel est l'usage en vrai de cette ouverture, qui, en plus, est à mi-plancher
.
Bon, escalier secondaire en bois en, "état d'usage" qui aurait bien besoin d'un coup de peinture :
Un petit bout de fil métallique m'a permis de le tenir le temps de la peinture, et plus tard
je pourrai le fixer solidement dans le décor :
Vérif avant peinture :
C'est bon
. Hop, au pschit.
Et après les pschit, plus le lavis de noir (et de vert) et le frottis de blanc :
En vrai, le gris est plus clair que les bois en... bois, car le plastique ne prend pas la couleur de la même façon : il ne boit pas, lui
!
Et le vert est beaucoup moins marqué.
Z'ont joué la sécurité tout de même, les gars : tout est boulonné.
Et ça rouille bien, vu que les têtes de vis hexagonales dépassent
.
Les clous du bardage ont bien vieillis, eux.
Mystère de la nature...