Les briques jaunes étaient appelées "briques de sable" en région parisienne, à l'époque où la "brique de Vaugirard" jaune flammée était à la mode (années '80).
Je pense qu'un même filon d'argile ne donne qu'une couleur, et les teintes varient effectivement selon le temps de cloison et la proximité du feu.
Je ne sais plus quel architecte "promoteur" a réalisé tout un quartier en briques jaunes, quelque part en Normandie
. Faudra que je recherche, tient.
Dans mon cas, c'est de l'industriel, on fait pas dans le chichiteux, Monsieur
.
Donc un seul filon d'argile et une seule couleur.
Et les briques ne sont pas toujours dans le même plan (le cordeau a bougé avec le vent
), ce qui est d'ailleurs reproduit sur la maquette, et le mortier a débordé sur les briques sans être essuyé plus que ça. Et encore, il est jointoyé en montant, le luxe !
J'avais une bombe de peinture Duplicolor mate, de couleur Terracota la bien nommée, mais elle est vide.
Dommage, ça s'accordait bien avec les tuiles.
Reste le capuchon :
L'essai avec un apprêt brun rouille n'est pas concluant, beaucoup trop rouge
.
Bon, retour à l'établi, pinceaux et terre de sienne brûlée pour voir.
À suivre...