[HOe] La Tuilière

[FRET 87]

Bonjour,

Merci à Yves pour les photos et films pouvant donner des idées !

Sur les photos que j'ai postées hier, le camion paraît grand voire disproportionné car le seul élément présent de la maquette était le four et non le bâtiment incluant le four. J'ai commencé à faire un prémontage de la maquette dont la qualité me semble irréprochable, au moins pour les parties en bois découpées au laser. Le volume du four est évoqué par un montage en carton sous la charpente bois.

Voilà une nouvelle mise en situation du camion benne :

La Tuilière 05.jpg

Même angle de prise de vue pour la mise en situation du locotracteur accompagné de quelques bennes basculantes :

La Tuilière 06.jpg

Est-ce que désormais les échelles vous paraissent plus cohérentes ?

A bientôt,

François

[pelican]

[YVES]

Donc, nous continuons avec un nouveau réseau : la briqueterie des Flandres, Oe, club de Lille.

[Patrick ze rabbit Deludin]

Bonjour,
Voilà une nouvelle mise en situation du camion benne.
Même angle de prise de vue pour la mise en situation du locotracteur accompagné de quelques bennes basculantes.
Est-ce que désormais les échelles vous paraissent plus cohérentes ?
A bientôt,
François

Autant ne pas mettre le locotracteur devant pour comparer, il n'est pas au 87e.
Avec le camion, c'est plus probant, même benne levée.

Par rapport au modèle Faller, en se fiant aux camions qui sont généralement à l'échelle, ça fait drôle :

Et si l'on compare avec la briqueterie Chimot, on a à peu près le même rapport de grandeur :

MAIS dans les 2 cas, on a 2 fours parallèles, peut-être même plus à Chimot. Donc une toiture plus haute, déjà.
Au vu de la largeur de la maquette Busch, il n'y en a qu'un.
En tenant compte qu'il n'y a pas de local de séchage au-dessus (le cas de Faller ; Chimot ?) mais juste un accès pour surveiller la cuisson par des trous disposés dans la voûte, ce qui d'ailleurs est confirmé par Busch avec des hangars séparés prévus à cet effet, et en imaginant la dimension de cette voûte, c'est déjà nettement plus plausible.
On le voit bien avec cette vue Busch, accompagnée d'un Gmeider à l'échelle :

L'avantage est que ce système de séchage séparé du four est beaucoup plus courant en France... si l'on veut chanter cocorico.
Voir ce que m'a dit M. Pauzat, sous le premier dessin :
viewtopic.php?f=4&t=11018&hilit=briqueterie+faller#p400297

Donc, c'est réaliste.
(Voilà de quoi animer les débats dans les expos, autour du réseau ).

[FRET 87]

Bonjour,

Merci à Yves et à Patrick pour la banque d'images et pour les commentaires. Je pense qu'il faut faire fi des échelles approximatives au profit du "jeu" et des discussions que les approximations tant au niveau des échelles que de la disposition des bâtiments pourront engendrer ! Il paraît que la Sologne comptait au début du vingtième siècle une centaine de briqueterie, environ une par village ou par grand domaine. La Sologne est connue pour son sol sablonneux mais regorge de nombreuses "lentilles" argileuses. Certains collectionnent même les briques avec leurs estampilles spécifiques et des petits villages mettent en valeur des façades en brique (La Ferté Saint Aubin, Ligny le Ribault, Menestreau en Villette ...). C'est dire que le nombre de configurations devaient être très différentes ... et que beaucoup n'avaient sans doute pas de voies étroites où circulaient des locotracteurs.

Mais la construction d'un réseau, c'est aussi un peu de recherche sur l'histoire et la technologie, ce qui permet des échanges fort intéressants et constructifs, voire pourquoi pas des projets de visite sur le terrain.

Pour revenir aux maquettes, je trouve les maquettes Busch d'un admirable rendu, de nombreuses parties étant en vrai bois parfaitement découpé au laser. Toutefois, en comparant aux photos, les poutres et poteaux en bois sont d'une couleur très foncée qui va mériter un éclaircissement pour rajouter la patine du temps et les conséquences de l'ensoleillement. J'envisage de faire du brossage à sec avec de la peinture acrylique blanche, mais peut-être avez vous d'autres idées (craie, pastel ...) ou d'autres expériences à partager ?

La Tuilière 07.jpg

Je vais d'abord terminer la construction des volumes des différents bâtiments avec du carton pour arrêter la surface définitive du plateau et entreprendre un peu de menuiserie, l'idée étant de pouvoir poser le réseau aussi bien sur une table que sur une sellette en hauteur. J'ai bien conscience que la haute cheminée du four représente un risque pour les transports. Faudra-t-il la rendre amovible (filetage par exemple) ou prévoir un "toit" pour le module ? Encore des pistes de réflexion et de nombreux échanges en perspective.

A bientôt

François

[pelican]

le brossage à sec est une bonne idée, mais fait des essais sur des pièces "martyr" avant d'attaquer les maquettes

[YVES]

Pour la cheminée, c'est sans doute une précausion utile de la rendre amovible si le réseau part en exposition.
Traitement du bois, dry brush, ou encore encres, de toute façon la technique est la même que pour de vieilles traverses.

[FRET 87]

Bonjour,

Je réfléchis à l'automatisation des circulations sur ce micro-réseau pour lequel je souhaiterais avoir deux modes de fonctionnement, les circulations faisant appel à un mode analogique à l'aide de la commande à main MinitrainS :

Mode n°1 : mode complètement manuel où je bascule individuellement les aiguilles pour tracer mon itinéraire ... à moi de ne pas me tromper mais les convois avancent presque à pas d'homme !

Mode n°2 : mode complètement "automatique" basé sur des itinéraires pré-établis et commandés par une matrice à diodes :

http://montrainho.com/matrice.htm
http://amfn.nice.free.fr/matdio1.htm
http://beuret.net/modelisme-ferroviaire/fiches-pratiques/fiche-pratique-n3-telecommander-les-aiguillages/

J'envisage 3 itinéraires donc trois boutons poussoirs :

Mode n°2 - Itinéraire n°1 : le convoi tourne en rond.

Mode n°2 - Itinéraire n°2 : Le convoi part de la coulisse A1 pour venir s'arrêter devant le four A2 avec un fonctionnement en va et vient.

Mode n°2 - Itinéraire n°3 : Le convoi par du séchoir B1 pour rejoindre l'arrière du four B2 après être passé par la coulisse et avoir parcouru presque complètement la boucle. Fonctionnement également en va et vient.

La Tuilière 01.jpg

Je vais utiliser des moteurs PECO PL-10WE (plus faible consommation de courant).

Pensez-vous qu'il soit utile d'adjoindre une unité de décharge capacitive de type PECO PL35, voire d'autres dispositifs "sécurisants" ?

PL-35.jpg

Quelqu'un parmi vous a-t-il une expérience concluante avec l'utilisation des matrices à diodes ?

Merci pour vos réponses

François

[YVES]

Un dispositif de sécurité redondant n'a jamais fait de mal. Surtout pour un exploitation en exposition.
Voir la discussion : viewtopic.php?f=4&t=10651&start=30

[camboui]

Salut François
Je pense que Yves a raison, il vaut mieux prévoir une sécurité...De ce que j'ai pu lire au sujet des expos, on arrive vite à une catastrophe et visiblement beaucoup sont passés par là...

Pour les itinéraires , je trouve l'idée intéressante , je ne connaissais pas ce système de matrice à diodes qui d'après les liens a l'air de fonctionner plus pas mal

A+ Camboui

[pelican]

pour un chouette fonctionnement en va et vient, il y a le module Viessmann

https://www.maurienne-trains.com/comman ... -7423.html

je l'ai utilisé sur mon réseau Caisse à vin, et franchement, c'est vraiment bien ...

[matthieu]

Testé ça sur la Banlieue à Utrecht, marche très bien pour pas cher !
https://www.conrad.fr/p/dispositif-de-c ... a-1-216524

[JJB]

J'en avais fait un au début de Bouçois le Rieu, avec un 555 et un relais (idem Conrad), c'est vrai que le système est fiable. Le + du Wiessmann c'est la non nécessitée de mettre des diodes sur les zones d'arrêt, et surtout l'arrêt et le redémarrage progressif! Mais c'est pas le même tarif....

[FRET 87]

Bonjour,

Merci aux contributeurs pour les modules assurant le Va et Vient. Je vais récupérer un module Conrad dont je dispose et qui me donne toute satisfaction ; de plus il permet d'utiliser la commande à main MinitrainS pour le réglage de la vitesse. Il faut simplement insérer des diodes à chacune des extrémités du parcours. Je retiens toutefois le module proposé par Pélican qui permet de s'affranchir visiblement des diodes et de l'alimentation.

Revenons au pilotage des aiguilles. J'ai voulu faire hier un montage "à blanc" à partir d'une seule aiguille Peco HOe ST 405 . Le moteur est un moteur Peco PL 10 WE (donc à plus faible consommation) alimenté par courant alternatif.

Comme j'étais en train de ranger le coin modélisme du garage, je trouve en premier lieu l'alimentation provenant d'un coffret Roco HOe :

Alimentation_Roco_HOe.jpg

Dans le sens de la traction des lames de l'aiguille, tout va bien mais dans l'autre sens (la tige doit pousser) rien ne se passe si ce n'est le grésillement classique au niveau d'un contact. Inutile d'insister au risque de faire chauffer le dispositif et passons à un bon vieux transformateur Fleischmann 6735 :

Alimentation_Fleischmann.jpg

Même constat, pourtant ce transformateur avait résisté jusque là à toute épreuve.

La dernière tentative a été fructueuse grâce à un transformateur Conrad 52 VA, en se plaçant sur la sortie 0-18V :

Alimentation_Conrad.jpg

J'attends donc avec impatience l'unité de décharge capacitive pour savoir si j'arrive à basculer simultanément 3 ou 4 aiguilles à la fois pour créer un itinéraire à partir d'une matrice à diodes.

D'autres membres ont-ils rencontré ce problème d'alimentation des moteurs Peco ? Quel transformateur utilisez-vous ?

Merci pour vos réponses et conseils avisés.

François

[pelican]

On a eu ce genre de problème avec un signal Marklin au 1/32: il bougeait péniblement, et c'était du à l'alim : on utilisait une alim pour le Z avec une tension en dessous de celle nécessaire pour le signal ... j'ai utilisé la petite alim Roco pour alimenter ce signal, et il fonctionne normalement ...