Nous étions donc conviés, dans le Nord, à la visite de la briqueterie de Saint-Aubin. Le directeur nous avait donné rendez-vous de bon matin.
Tout était encore calme, les bennes garées sur leur voie de garage.
Les premiers signes d'activité vinrent du dépôt.
Antonio démarrait son Gmeinder après avoir fait le plein, tandis que Manuel sortait le Jung de la vieille remise.
Un premier train de bennes chargées en provenance de la carrière descendait le Z, poussé par un petit Campagne.
Pendant ce temps là, Manuel démarrait en direction de la briqueterie pour se mettre en tête des rames qui transportaient les briques crues vers le four.
Une entreprise qui n'a jamais acheté une Corpet neuve !!! Est-ce bien une compagnie ferroviaire sérieuse ?!...