Béton désactivé : on met un produit retardateur de prise. C'est surtout un procédé industriel pour le traitement des grandes surfaces, comme de plus en plus de rues et de stationnements en France (Et on en profiter pour étancher de plus en plus la planète...

)
Béton lavé : on coule le béton dans un coffrage, on décoffre le lendemain et on lave à grande eau en frottant avec une brosse à poils durs. Et on bouge les égouts de la commune si l'on ne rince pas copieusement la laitance qui coule ! On obtient le même résultat que le désactivé, c'est à la portée de n'importe qui, c'est idéal pour les petites surfaces, mais c'est plus contraignant.
Coffrage : pour que le procédé ci-dessus fonctionne bien, le béton doit pouvoir être "coulé", ce qui lui donne sa cohésion. Sinon, tout se barre en
cou en sucette au premier coup de jet et de brosse. D'où la nécessité d'un moule. Tu peux le faire en bois, pour dégrossir les formes, et tu habilles l'intérieur avec du polystyrène sculpté en négatif : c'est le principe des matrices utilisées sur les chantier (sauf que maintenant, c'est du Rhodorsil industriel) :
http://larochelle.superforum.fr/t3282-m ... ce-kennedy(Hé hé, je le connais bien, ce chantier

! Marion, si tu nous lis...

)
La méthode la plus simple me paraît être d'
utiliser du mortier un peu "sec" mais gras, pour la cohésion, et de le sculpter ou d'y imprimer des empreintes réalisées en négatif avant qu'il ait fait sa prise.
Ou d'y insérer des cailloux à la façon de Ferdinand Cheval :
http://archi59.e-monsite.com/pages/ferd ... heval.htmlou rocailles des années 1920 :
http://album.aufeminin.com/album/560615 ... -0.html#p8