Les Forums de Passions Métrique et Etroite !!

Longueur : 56 km.

Mise en service :
- section Le Mans - Savigné-l'Évêque - Bonnétable (30 km) : en 1897;
- section Bonnétable - La Détourbe - Mamers (26 km) : en 1898.
Fermeture au service voyageurs et marchandises : en 1947.

Au départ du Mans, la ligne desservait :
Coulaines (+ 3 km), Sargé-lès-le-Mans (+ 6 km), Savigné-l'Évêque (+ 12 km), Sillé-le-Philippe
(+ 18 km), Torcé-en-Vallée (+ 22 km), Beaufay (+ 24 km), Briosne-lès-Sables (+ 28 km),
Bonnétable M-StC (+ 30 km), Bonnétable-Ville (+ 32 km), Rouperroux-le-Coquet (+ 35 km),
La Détourbe (+ 37 km) Nogent-le-Bernard (+ 40 km), Saint-Cosme-en-Vairais (+ 44 km),
Champaissant (+ 45 km), Saint-Rémy-des-Monts (+ 51 km) et Mamers (+ 56 km).

Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

Gare de La Détourbe

Elle était située sur le territoire de la commune de Rouperroux-le-Coquet.

Elle était gare de bifurcation de l'ancienne ligne :
La Détourbe - Saint-Georges-du-Rosay - La Ferté-Bernard (16 km).

Mise en service : en 1898.
Fermeture au service voyageurs et marchandises : en 1947.

Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

Source

Une des trois rescapées des TS, la n° 51 garée à Beillé (Transvap).


Même si sa présence à Beillé est d'évoquer les Tramways de la Sarthe, il est dommage de cloîtrer cette locomotive dans un milieu à voie normale.

Elle serait mieux sur un réseau à voie métrique comme la machine du MTVS, mais il paraît qu'elle appartient au département (Sarthe) qui la garde comme souvenir.

Didier.

C'est la "Fouilletourte" de mémoire

"Foulletourte" oui

Didier.

Longueur : 56 km.

Mise en service :
- section Le Mans - Savigné-l'Évêque - Bonnétable (30 km) : en 1897;
- section Bonnétable - La Détourbe - Mamers (26 km) : en 1898.
Fermeture au service voyageurs et marchandises : en 1947.

Au départ du Mans, la ligne desservait :
Coulaines (+ 3 km), Sargé-lès-le-Mans (+ 6 km), Savigné-l'Évêque (+ 12 km), Sillé-le-Philippe
(+ 18 km), Torcé-en-Vallée (+ 22 km), Beaufay (+ 24 km), Briosne-lès-Sables (+ 28 km),
Bonnétable M-StC (+ 30 km), Bonnétable-Ville (+ 32 km), Rouperroux-le-Coquet (+ 35 km),
La Détourbe (+ 37 km) Nogent-le-Bernard (+ 40 km), Saint-Cosme-en-Vairais (+ 44 km),
Champaissant (+ 45 km), Saint-Rémy-des-Monts (+ 51 km) et Mamers (+ 56 km).

Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

Gare de Nogent-le-Bernard

Longueur : 56 km.

Mise en service :
- section Le Mans - Savigné-l'Évêque - Bonnétable (30 km) : en 1897;
- section Bonnétable - La Détourbe - Mamers (26 km) : en 1898.
Fermeture au service voyageurs et marchandises : en 1947.

Au départ du Mans, la ligne desservait :
Coulaines (+ 3 km), Sargé-lès-le-Mans (+ 6 km), Savigné-l'Évêque (+ 12 km), Sillé-le-Philippe
(+ 18 km), Torcé-en-Vallée (+ 22 km), Beaufay (+ 24 km), Briosne-lès-Sables (+ 28 km),
Bonnétable M-StC (+ 30 km), Bonnétable-Ville (+ 32 km), Rouperroux-le-Coquet (+ 35 km),
La Détourbe (+ 37 km) Nogent-le-Bernard (+ 40 km), Saint-Cosme-en-Vairais (+ 44 km),
Champaissant (+ 45 km), Saint-Rémy-des-Monts (+ 51 km) et Mamers (+ 56 km).

Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

Gare de Saint-Cosme-en-Vairais

L'ancienne commune de Saint Côme, devient Saint-Cosme-de-Vair.

En 1964, l'ancienne commune de Saint-Cosme-de-Vair devient, Saint-Cosme-en-Vairais, après
la fusion avec les anciennes communes de Champaissant et de Contres-en-Vairais.

Tramway de la Sarthe - Spay, une jolie CPA.

Longueur : 56 km.

Mise en service :
- section Le Mans - Savigné-l'Évêque - Bonnétable (30 km) : en 1897;
- section Bonnétable - La Détourbe - Mamers (26 km) : en 1898.
Fermeture au service voyageurs et marchandises : en 1947.

Au départ du Mans, la ligne desservait :
Coulaines (+ 3 km), Sargé-lès-le-Mans (+ 6 km), Savigné-l'Évêque (+ 12 km), Sillé-le-Philippe
(+ 18 km), Torcé-en-Vallée (+ 22 km), Beaufay (+ 24 km), Briosne-lès-Sables (+ 28 km),
Bonnétable M-StC (+ 30 km), Bonnétable-Ville (+ 32 km), Rouperroux-le-Coquet (+ 35 km),
La Détourbe (+ 37 km) Nogent-le-Bernard (+ 40 km), Saint-Cosme-en-Vairais (+ 44 km),
Champaissant (+ 45 km), Saint-Rémy-des-Monts (+ 51 km) et Mamers (+ 56 km).

Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

Gare de Saint-Rémy-des-Monts

trouvé sur un site allemand, une photo prise en 1940 par un soldat dans les environs du Mans

Le pendant de la photo du dessus, prise par un soldat Américain en 1917/1918 une vue du pont en X.

En complément des débats sur le fil de la Côte-d'Or, quelques informations sur l'autorail Saurer des TS

Le 4 juillet 1932, le CG de la Sarthe valide l'acquisition d'un autorail neuf par les TS.
Particularité : la compagnie paye cet achat, remboursable en fin de concession aux TS par le département, avec intérêt de 5 % (avec possibilité de remboursement anticipé sans intérêt).
Marché signé le 4 novembre 1932 entre les TS et les Automobiles Industriels Saurer, à la suite de propositions reçues le 3 mai 1932, pour 200 000 F.
40 km/h attendus en palier, et 18 km/h en rampe de 3 %, consommation gas-oil de 25 kg aux 100 km (et 36-40 kg avec remorque).
Marché approuvé le 20 janvier 1933, délai de livraison de 6 mois, avec pénalités de retard.
Saurer ne s'occupa que du châssis et du moteur, la caisse fut sous-traitée à Carel, Fouché & Cie au Mans.

PV de recette du B 203 25 septembre 1933.
Essais de réception 28 au 30 septembre 1933.
Arrêté préfectoral autorisant mise en service 6 octobre 1933.
PV de réception provisoire 19 octobre 1933.
PV réception définitive 4 février 1935.

La réception définitive a tardé, en raison des divers soucis rencontrés au cours des 6 premiers mois de service.
Au début de l'année 1936, le système d'injection du moteur est modifié par un garagiste du Mans, en raison de ruptures successives de la culasse.
Les CDCO eurent également des soucis avec leur moteur Diesel Saurer modèle 1933, comme ce fut le cas pour d'autres fabricants (Berliet notamment), à une époque où la fiabilité n'était pas encore totalement au rendez-vous.

Il semble ensuite avoir roulé sans trop d'accroc jusqu'en 1940, où ses circulations ont dû se réduire, du fait des pénuries de carburants.
Immobilisé pour réparation de son moteur en 1944, il est détruit par un bombardement en gare de Connerré le 5 août 1944.
Le moteur, qui était démonté pour réparation au moment du bombardement, échappe à la destruction, et est vendu à un garagiste du Mans en janvier 1945.
Les TS perçoivent donc 200 000 F du département en 1945, ce dernier déclarant cette somme au titre des dommages de guerre, ce qui in fine lui permet de ne rien débourser pour cet achat de 1933