Mes chères amies françaises de la forêt :
Je ne connais pas du tout le développement des forets dans les montagnes en France, en Autriche il est la suivante :
Les montagnes étaient toujours couvertes avec les forets. Et ils étaient toujours exploités. Certaines zones étaient transformées en alpages a cause du levage des animaux, notamment les vaches.
Le 19ieme siècle changeait beaucoup : l’exploitation des forêts commençait d’être plus et plus intensive quand le charbon était rare en Autriche et l’industrie demandait plus et plus pour l’énergie. Pareillement le bois est très important pour la construction en Autriche quand on utilisait et utilise beaucoup moins d’acier.
Pendant le 19iem siècle la surface des forêts était réduite dans une manier dangereuse pour l’homme quand les fortes sont la protection naturelle pour les vallées et la population contre les emballements et avalanches. A cause de ça on décidait de trouver un arbre à planter et trouvait un conifère Grèce ( !) >Fichte< qui poussait beaucoup plus vite dans le climat autrichien que les anciennes types de sapins. Récolter les arbres est déjà possible après environ 70 ans, pour un arbre pas du tout vieux. Depuis cette temps on peut dire que les forêts en Autriche sont des >plantages<.
Je suis relativement sure que cette type d’exploitation intensif des forêts n’existe pas en France.
C’est pourquoi nous avons une monoculture comme forêt en Autriche, en plus les racines de cette type d’arbre ne sont pas assez profondes pour se tenir et pour éviter les emballements ils sont moins efficaces que les anciennes sapins. On voit les problèmes d’environnement sont des fois déjà très vieux. En plus comme arbre noël ils ne sont pas trop agréables quand ils perdent leurs épingles après une semaine (mais a 100%!! Un touche et tout l’arbre est nu, maman blâme les enfants le paix familial des noëls est fortement perturbée)
PO remarquait les surfaces sans arbres dans les photos j’ai publiée et mentionnait les surfaces nues sur le Semmering à coté de la ligne pendant le 19ieme siècle. La raison pour ça est les chemins de fer eux-mêmes (yeti disait déjà) : on cherchait le bois pour les échafaudages énormes pour construire les viaducs, murs, tunnels etc… directement à coté de la ligne. Mais aussi les logements pour le Semmering étaient énormes, le camp pour 10000 ouvrières tout en bois!! On sait que le Semmering était sans arbre dans une zone de environ un km à gauche et droite de la ligne quand elle était finit, Carlo Chevallier di Gegha laissait une zone dévastée au fin du chantier.
A-propos vues : notamment le Semmering souffre beaucoup à cause des arbres qui poussent sans contrôle. Environ 20 années passées je traversais le Semmering la première fois, on avait une vue panoramique du train, on croit on rêve ! Maintenant tout est entre les arbres et arbustes. La vue est cachée. Le problème : les ÖBB vendaient (sans penser quelque chose mal) le terrain directement a coté de la ligne aux fermiers et les fermiers ne coupent rien quand ils ne peuvent pas vendre cette type de bois plutôt des arbustes que des arbres. Les derniers points de vue pendant le passage sont les viaducs comme celui sur l’ancien billet de 20 Schilling a coté (mon avatar).
Aussi si la forêt pousse trop, le chemin de fer de Semmering est une ligne absolument remarquable et absolument obligatoire à visiter si vous étiez la première fois en Autriche. Il existe un chemin a randonner parallèle aux voies bien a faire aussi pour les non-sportifs, enfants etc. quand la prochaine gare est jamais loin si le fatigue est trop. Et les omnibus passent en cadencement de 60 (ou des fois 120) minutes. La gare de Semmering abrite le centre d’information pour l’héritage UNESCO, on peut demander pour une carte (elle se trouve comme PDF en ligne aussi), on peut demander de déposer le bagage (ne pas officiel mais possible). Il faut seulement chercher le bagage avant la fermeture (17.00 heures, je crois). Le chemin a randonner est une combinaison d’apprécier la nature la forêt et les trains…
Et par hasard : le passage sur la photo en blanc et noir (Laubenbachmühle – Winterbach – Gösing) du Mariazellerbahn s’appel >Schmalspursemmering< ou Kleiner (petit) Semmering!