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eric fresné a écrit:Moteur à explosion sous caténaire avec deux perches ?!?

242TE66 a écrit:..., on n'est peut-être pas sur le bon FIL, là...
Seyssins, à quelques km de Grenoble,...

Dans ce fil, mieux vaut s'adresser au dieu de la combustion interne plutôt qu'à Seyssins...


Pierre.

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eric fresné a écrit:
Moteur à explosion sous caténaire avec deux perches ?!?

Dis, Eric, tu pourrais expliquer ?
J'ai le cerf-volant à mon âge...

A défaut, mais c'est de la VN, voici un boxmotorcar (ou motor boxcar, ou ) qui a perdu ses perches et gagné un moteur à explosion



Et en se vautrant dans le HS, deux exemples de motorisation d'engins à vapeur.
Les deux sont en voie de 3 pieds.
C'est bien de la VE, mais pas des automotrices
Une ex Shay.
Bon, au point de vue esthétique et mécanique, cela va.





Mais alors là, ahuri je suis resté :
Remarquez le robinet de frein sur la colonne portant les cadrans.
Le réservoir à l'arrière devait certainement être rempli d'eau afin d'équilibrer les masses et augmenter le poids adhérent.



Fin du HS.
Retour aux automotrices

Cordialement.

Yves Dreux avait posté une CPA représentant une automotrice électrique. D'où les trois messages qui ont suivi. Mais, depuis, le message qui avait suscité ces réactions a été effacé...

Je confirme !
Et dire que moi, j'ai jamais réussi à effacer mes messages lorsque je voulais le faire...

Privilège de modo...

C'est normal !
YVES a tous les pouvoirs



Merci Eric.
Pour la peine, une reproduction d'une automotrice en voie métrique.
D'accord, c'est une draisine plus qu'une automotrice, n'ayant pas assuré de service commercial.
Démolie seulement en 1964.
Si quelqu'un a d'autres photos ou détail, merci par avance.
Photo extraite du livre du Cabris "Le petit Train Jaune de Cerdagne".
Mines du Têt.



Cordialement.

Il est vrai que, sans la CPA du tramway, les messages suivants ne plus guère compréhensibles.

Mais, sur ce coup-là, Gogol est ton ami:

http://www.cparama.com/forum/cartes2014a/1389041131-Seyssins3tram.jpg

Je ne connais pas tous les sites de CPA mais j'ai déjà trouvé pas mal de choses sur CPArama, bien que je ne sois pas moi-même collectionneur ni inscrit au forum en question. En fonction des collections partagées, certaines régions et certains lieux sont beaucoup mieux représentés que d'autres.

Quitte à être hors-sujet, autant donner un lien vers l'article qui va bien:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tramway_Grenoble_-_Villard-de-Lans

Mais ce serait bien sûr plus à sa place dans un fil dédié aux tramways ou aux chemins de fer secondaires à traction électrique.

242TE66

J'étais un peu perdu aussi

Patrice connaîtrais-tu par hasard le département ou la draisine Luc Court aurais pu circuler ?
Pourquoi je te pose cette question ? parce que je possède une photo (reproduction d'une plaque de verre) d'un engin similaire voir celle-ci. mais comme il y a plus de
10.000 photos sur le DD et que je les classe par département je n'arrive pas a remettre la main dessus !

Pour 242TE66 : merci pour les explications détaillées

Pour Beyer-Garrat :
Informations issues du MTVS N° 3 :

C'est la toute première automotrice BAERT & VERNEY, avant les fameuses "GMC"
Engin construit dans les Ardennes en mars 1922, avec les premiers essais sur le réseau des Ardennes.
Les essais se sont poursuivis sur le réseau d'Eure-et-Loir.
Mais devant la faible puissance de l'engin, ce dernier a été muté sur le réseau de Belfort.
Il y a été affecté à l'équipe "caténaires".

Je pense que d'autres lecteurs ont de plus amples précisions.

Cordialement.

Les dates de construction du Luc Court par Verney correspondent bien avec sa mise en service de cet auto-rail, dès le printemps 1922, afin de reprendre - très modestement certes - le service urbain qui traversait la ville de Chartres ; service en vapeur (locomotive 030 T Corpet de 12 tonnes) de 1899 à 1914/15, où il fut suspendu sans remplacement et qui finalement repris avec : deux doubles courses les après midi, renforcées par deux autres le matin le samedi, jour du principal marché à Chartres... Ce n'était plus le service relativement important d'avant 1914, le réseau des TEL étant en grosses difficultés diverses, mais il avait au moins le mérite d'assurer un service minimum,; cependant, trop spartiate, dès fin 1922, il a fait place à 2 automotrices Verney/GMC primitives.
Après mise en place d'une carrosserie vitrée, il fut question de l'affecter à la navette de St Sauveur à Châteauneuf, mais resta sans suite, puis se fut la mutation sur le réseau des CFTB ( Belfort ) où il termina sa carrière comme draisine et éventuellement secours de trains en détresses (NB: il disposait de 14 places assises ). Quant à sa réforme, des passionnés des anciens tramways de Belfort et du réseau CFTB pourraient sans doutes nous le confirmer ?

Je vais fouiller merci Patrice

En ce qui concerne : les "automotrices pittoresques", en voie de 60, en particulier, il faut citer des automotrices ouvertes (ou semi-ouvertes ), qui équipèrent plusieurs exploitations en V.60 : Royan (ligne de La Coubre), La Baule (transformées par la suite en baladeuses remorquées), une automotrice à essence circula également avant 1914 sur le Tramway de Fort Mahon (service local dans la station balnéaire ) et sans doutes... quelques autres, parfois essais sans suite ?
Je ne parle ici que des "automotrices type baladeuses" et non des plus classiques "fermées" du TPT, du Tarn, Calvados et Savoie, qui sortent du cadre de ce fil.

Les "automotrices Campagne" de Royan, affectées à la ligne forestière exclusivement, paraissent avoir été les seules "automotrices aménagées en baladeuses, ayant connu une carrière relativement longue : 1924 à 1939, (voir, mais à confirmer, quelques utilisations stratégiques au début des années 40 ?) et paraissent avoir bien répondus aux services auxquelles elles furent affectées. Sur les six livrées, il faut rappeler qu'il y avait deux sous-séries (24 ou 21 places, ces dernières avec des sièges rembourrés ).

Les "automotrices Campagne" de Royan, affectées à la ligne forestière exclusivement, paraissent avoir été les seules "automotrices aménagées en baladeuses, ayant connu une carrière relativement longue : 1924 à 1939, (voir, mais à confirmer, quelques utilisations stratégiques au début des années 40 ?) et paraissent avoir bien répondus aux services auxquelles elles furent affectées. Sur les six livrées, il faut rappeler qu'il y avait deux sous-séries (24 ou 21 places, ces dernières avec des sièges rembourrés ).

Quelqu'un aurait-il les plans de ces automotrices ?

Il doit y avoir ça dans le CFRU 139 consacré aux tramways de Royan.

Non, non, rms olympic, toutes les automotrices sont les bienvenues !
Pas que les engins plus ou moins bizarres !

Concernant les petites automotrices à voie de 60, même les draisines sont acceptées.
La limite entre "automotrice", destinée au transport des voyageurs, bagages et, parfois, La Poste et les "draisines" n'existe pas.
Voir l'exemple du "Papoum" sur les Chemins de Fer du Doubs , en voie métrique.

Quelques vues d'automotrices "d'été" en voie de 60.
Le Touquet (origine : )
Automotrice Campagne


Remorque


Bruxelles - Exposition de 1910 Document Ramon
Automotrice Decauville : En arrière-plan, devant la baladeuse.


Liège - Exposition de 1905 Tout est sur la photo
Automotrice Decauville. Un peu plus importante que la précédente.


Quend. Revue de la FACS.
Automotrice Decauville. Même modèle que pour Liège. Ici convertie en remorque


La Baule. Revue de la FACS
Automotrice Decauville. Semble identique à la précédente, la plate-forme en moins ?


Pour la forêt de la Coubre, diagramme extrait de la revue de la FACS.
Automotrice Campagne 1ère série


HS, car ce n'est le bon fil, mais s'il y a des personnes intéressées, il me reste des pièces pour réaliser une telle automotrice (2 ou 3 kits complets), mais sans notice.
Prévue pour les voies de 16,5, 14 et 12 mm.
Me consulter en MP. Merci.

Fin du HS.

Cordialement.