Compilation De Dion-Bouton

Pour discuter des chemins de fer à voies étroites ou métriques à l'échelle 1, des trains touristiques à voies étroites ou métriques, des manifestations sur ces mêmes réseaux, des expositions de modélisme ferroviaire ...

Modérateurs: YVES, Beyer-Garrat, pelican

Messagepar Brisso 32 » 04 07 2008 à 22:18

Salut Chef de gare

Quelques précisions sur l'Anjou :

Si le n°78 est bien celui de l'Anjou, il s'agit du n°28.

Quant au tout premier de l'Anjou, il n'a pas été numéroté à l'origine, tous les dossiers, rapports d'accidents, etc. avant 1930 parlent de "l'autorail".
Il a été vendu par contrat à la SE Anjou en 1930 par le département.
Chose curieuse, lorsque les cinq suivants sont arrivés, les tests en ligne concernent les n°21, 22, 24, 26 et 26. Quid du n°23 ? On peut faire deux suppositions :

l'autorail de 1924 est devenu le n°23

L'autorail de 1924 prend le n°21 et on attribut le n°23 au 21 neuf, ce qui me parrait plus plausible car 3 semaines après leur mise en service, les 23 et 25 se bigornent face à face de plein fouet or la photo de presse montre deux JM identiques et, en juillet 1932, la 21 heurte une auto et est probablement réformée.

Dès 1930, les De Dion Anjou subissent une série d'accidents :

- rencontre des 23 et 25 déjà citée
- avril 1931, la 25 heurte une auto et finit sa course contre un mur l'avant défoncé
- août 1931, la 26 et la remorque R4 heurtent un camion d'essence et sont entièrement détruits par incendie. Les châssis sans doute récupérés (les listes De Dion ne signalent pas de nouvelle livraison), reçoivent une nouvelle caisse de Guillet à Angers.
- mai 1932, le 23 se retrouve en travers de la voie avec la R6 suite à un titre-font dans un joint de rail, 63 voyageurs, ce qui démontre le succès des engins !
- juillet 1932, le 21 accidentée contre une auto et probablement réformé.
- juillet 1935, le 23 déraille sur des pierres posées sur la voie par des gamins et se retrouve couchée en contrebas du talus
- octobre 1935, le 25 se couche sur le côté près de Saumur avec la remorque R6 également couchée sur le côté. La R6 est réformée.
- Novembre 1924, le 23 est heurtée de plein fouet par un autocar.
- novembre 1924, le 27 heurte une moto immatriculée...7598 JM3, ça ne s'invente pas...
- mai 1936, le 24 bouscule une carriole
- août 1936, le 25 heurte une auto

C'est suite à ces nombreux accidents qu'il est décidé de les re-carrosser de façon plus moderne.

Les 26 et 27 qui n'avaient pas eu d'accident sont également reconstruites avant la guerre (photos de 1940 les montrant re-carrossés)

Seules la 22 est encore en état d'origine à la guerre.. Elle est détruite sous les bombardements de 1940.

La 28 de Loire-Atlantique n'a probablement pas été reconstruite
Avatar de l’utilisateur
Brisso 32
 
Messages: 1216
Enregistré le: 19 08 2006 à 23:13
Localisation: Du côté d'Angers et Aldebaran (mais des fois j'atterris)

Messagepar chef de gare » 06 07 2008 à 19:01

Merci, merci !
Ces informations ne sont pas encore ajoutées, mais j'ai mis à jour la liste.

En gras ce que j'ai relevé sur des documents officiels, en italique les suppositions de Riffaud dans MTVS 21, en texte normal tout ce qui est tiré de revues ou de livres.
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar Brisso 32 » 08 07 2008 à 00:26

Salut

La première automotrice de type JM2 est réceptionnée en novembre 1924. A partir du 18 décembre, elle assure un AR entre Beaupréau et Angers, Angers et Beaufort (trains 310-311 et 502-501).
En raison de son klaxon très semblable à celui d'un camion, elle fait sa première victime à Corné le 30 décembre, un vieillard est bousculé et se relève avec l'épaule fracturée et 3 côtes cassées. Peu après, le journal montrait une photo de quinca et de sexagénaires avec comme légende : Corné, une commune où l'on vit vieux...
Le 1er septembre 1925, elle est mise en service entre Cholet et Beaupréau, les service précédants revenant à la vapeur par manque de capacité de l'automotrice.
Ce n'est qu'en décembre 1928 qu'un châssis de remorque LJ est livré aux établissements Guillet à Angers pour la carrosserie, afin d'augmenter la capacité de l'automotrice. La première JM2 a probablement été carrossée par Carel et Fouché.
En ce qui concerne les JM2 22 à 26, les châssis arrivent à Angers entre janvier et juillet 1930 avec retard sur les prévisions du cahier des charges. Le matériel est ensuite dirigé vers les ateliers Guillet d'après marché de gré à gré du 22 avril 1929.
Le 17 avril 1930, les automotrices 21 et 22 sont réceptionnées à titre provisoire, les essais en ligne ont lieu le même jour entre Angers et Beaupréau. Les 24 et 26 sont essayées le 25 juin avec deux remorques neuves. La 25 et les deux autres remorques sont essayées le 12 août. L'ensemble entre en service le 1er septembre 1930.
La JM4 n°27 est issue d'un marché passé en juin 1932 entre De Dion et le département 44 ainsi qu'un châssis de remorque (ADLA S 4375). un marché est passé en juillet 1932 avec Guillet pour les carrosseries. Essayée le 21 octobre 1932 entre Angers et Beaupréau. On peut supposer qu'elle sortait des ateliers et rejoignait la Loire-Atlantique et qu'on essayait l'engin non aménagé car malgré son autorisation de circuler datée du 24 novembre 1932, elle n'est provisoirement réceptionnée que le 20 février 1933 et sa mise en service n'intervient que le 21 août suivant. La remorque est réceptionnée le même jour et devient R7. Parrallèlement, le dapartement 49 achète une remorque livrée en juin 1932 qui devient la R6 (la R7 ne figure sur la liste établie par JC Riffault).
Avant 1934, les automotrices Anjou sont équipées d'un poste de téléphone et d'un avertisseur de secours Cissa Simplex. Les remorques sont équipées d'un signal d'alarme. En 1937, toutes sont équipées de contrôleur RBM, d'extincteurs Sicloto, de nouveaux essuie-glaces et avertisseurs.

Suite à mon précédent message faisant état de la modernisation des automotrices, je signale que les remorques furent également recarossées sauf la R1 réformée et la R6, garée après l'accident de Nantilly et ferraillée en 1937. Certaines perdent leur compartiment bagages au profit de places assises, les R 5 et R 7 sont rallongées.

Pendant la guerre, il n'était pas rare de voir les De Dion Anjou attelées de deux remorques.
La 23 reçoit un gazogène Imbert A2 en 1941. les 24, 25 et 26 sont équuipées en 1943.
La 22 est détruite sous les bombardements de 1940 ainsi que la remorque R2, la R7 est gravement endommagée.
A la Libération, ne restent que les 23, 24, 25, 26, 27 et 28, cette dernière bloquée à Nantes par la destruction du pont de la Vendée. Toutes sont remises en service, la 27 garde son gazo jusqu'à la fermeture du réseau. certaines reçoivent une galerie de toiture sur laquelle les vélos sont placés debout ! Les De Dion sont retirées du service en 1947. Le 15 août 1948, la Société des Forges et Ateliers de Villerbanne rachète l'ensemble des automotrices qui sont regroupées à Baugé où elles sont découpées sur place.
Côté remorques, les R4, R5, R7 ainsi que la R11 Brissonneau sont vendues à la SE pour 10 000 F chacune. Le 4 mai, la R4 est chargée en gare d'Angers et rejoint le Cher. Le 7 mai partent les R5 et R11 ainsi que la R7 dont la SE ne récupéra que les essieux et les vitrages. Les R4 et R5 reprennent du service sur le Cher où elles deviennent R7 et R8 (a priori).

A+
Avatar de l’utilisateur
Brisso 32
 
Messages: 1216
Enregistré le: 19 08 2006 à 23:13
Localisation: Du côté d'Angers et Aldebaran (mais des fois j'atterris)

Messagepar chef de gare » 08 07 2008 à 11:42

Merci... #B6

Aucun autre spécialiste d'un réseau ayant eu des DDB dans les parages ? :shock:
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar chef de gare » 08 07 2008 à 13:11

Bon je tente de résumer tes deux interventions Brisso :

- premier exemplaire sans numéro à l'origine, réception en 11/1924, mise en service 18/12/1924.
Vendu à la SE en 1930 par le département, peut-être numéroté 21 ou 23. S'il s'agît bien du numéro 21, probablement réformé en 07/1932 suite à une collision à un PN ;

- cinq exemplaires livrés en 1930, numéros 21, 22, 24, 25 et 26. Renumérotation probable du 21 en 23.
Numéro 26 détruit par incendie à la suite d'une colision avec un camion d'essence en 08/1931. Reconstruit ?
Numéro 22 détruit suite à un bombardement en 1940.
Pose d'un gazogène en 1941 pour le 23, en 1943 pour les 24 à 26.

- un exemplaire livré en 02/1933, numéro 27, mise en service le 21/08/1933. Equipé d'un gazogène durant la guerre, il le conserve jusqu'à la fermeture.

- un autre exemplaire, numéro de construction 82, numéroté 28 ?

L'ensemble des autorails est découpé après la fermeture, à Baugé, en 1948.

Concernant les remorques, je ne me suis pas encore lancé dans une liste, vu l'absence de liste officielle, y compris au niveau du service commercial.

Par contre question : dans livre d'anecdotes sur l'Anjou, il est fait mention des essais du premier De Dion le 2/02/1924, et d'une mise en service à l'essai durant 10 jours. Etait-ce un prêt d'un modèle prévu pour un autre département ?
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar cfcdn » 08 07 2008 à 15:23

chef de gare a écrit:Merci... #B6

Aucun autre spécialiste d'un réseau ayant eu des DDB dans les parages ? :shock:
Si si je suis là. Il faut simplement que je regarde les informations que j'ai sur les DDB des CdN. Enfin j'ai l'impression que tu as l'essentiel des informations #B6
les CdN sur Internet : http://chemin-fer-baie-saint-brieuc.fr
CPA et nombreuses photos de train (ACFCdN, CFBS...) : http://bretagne-ferroviaire.org
Avatar de l’utilisateur
cfcdn
Jeckle
 
Messages: 2034
Enregistré le: 27 04 2006 à 10:51
Localisation: Rennes - Bretagne

Messagepar chef de gare » 09 07 2008 à 11:57

Que nenni : je n'ai que des informations imprécises sur les CDN, tirées de CFRU... :cry:

La dernière version en date de la liste :
http://demophile1.free.fr/listingDDBv9-07-08.doc
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar cfcdn » 09 07 2008 à 14:22

chef de gare a écrit:Que nenni : je n'ai que des informations imprécises sur les CDN, tirées de CFRU... :cry:

La dernière version en date de la liste :
http://demophile1.free.fr/listingDDBv9-07-08.doc
Ok, je vais essayer de te donner toutes les informations que j'ai rapidement mais bon je ne suis pas sûr d'avoir beaucoup plus que ça pour le moment.
PS : à quand les OC1 et OC2 ? #B2
les CdN sur Internet : http://chemin-fer-baie-saint-brieuc.fr
CPA et nombreuses photos de train (ACFCdN, CFBS...) : http://bretagne-ferroviaire.org
Avatar de l’utilisateur
cfcdn
Jeckle
 
Messages: 2034
Enregistré le: 27 04 2006 à 10:51
Localisation: Rennes - Bretagne

Messagepar chef de gare » 10 07 2008 à 12:14

Trop moderne les OC, ça ressemble à un vrai autorail... :(
Je m'intéresse surtout à l'époque des bricolages, sur laquelle il subsiste parfois peu de témoignages. :cry:

Au fait les amis Belges : des infos complémentaires sur les autorails de la SNCV ? :D
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar Brisso 32 » 13 07 2008 à 00:03

Salut

A propos de ta question Chef de gare :

2 février 1924, une De Dion JM1 prêtée par le constructeur à faiit un essai entre Angers et Beaupréau suivi le 4 février d'une mise à disposition du public avec billets de 1ere classe. La presse annonce des essais avec cette De Dion pour une période de 10 jours :

4 au 9 février de Beaupréau à Angers
6 février entre Angers et Beaufort-en-Vallée

25 février, la presse annonce qu'une automotrice est arrivée le matin même en gare Saint-Laud et qu'elle va être mise sur rail dans la journée.
Il s'agit cette fois d'une Baert et Verney.

Les essais ont lieu du 29 février au 5 mars entre Angers et Beaufort, Angers et beaupréau.
Les voyageurs y seront admis avec un billet de premiere classe sans bagages ni chiens et dans l'ordre de numérotation des billets.

L'automotrice Verney essayée également sur les tramways de Saumur où la presse la prend en photo devant le théâtre. Il s'agit d'un modèle Verney GMC type BV stictement identique au modèle de la Manche.

:wink:
Avatar de l’utilisateur
Brisso 32
 
Messages: 1216
Enregistré le: 19 08 2006 à 23:13
Localisation: Du côté d'Angers et Aldebaran (mais des fois j'atterris)

Messagepar chef de gare » 23 07 2008 à 13:25

Merci des précisions très cher. :P

La liste a été mise à jour, avec les motorisations.
http://demophile1.free.fr/listingDDBv23-07-08.doc

Pour les CdNiens, un amateur dont je tairais le nom m'a donné quelques informations sur la destinée d'un des autorails JM4 de ce réseau.

L'exemplaire numéro 8, vendu aux Tws de la Sarthe en 1946, semble avoir fini ses jours en Tunisie... D6
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar cfcdn » 23 07 2008 à 15:53

Intéressant cette information #B2

Je n'ai pas eu encore vraiment le temps de fouiller mes documents. Je t'ai envoyé un mail il y a quelques temps (le 12 juillet) mais je ne sais pas si tu l'as reçu car je n'ai peut être pas la bonne adresse. Si tu ne l'as pas reçu, envoie moi un mp avec ton mail #B5
les CdN sur Internet : http://chemin-fer-baie-saint-brieuc.fr
CPA et nombreuses photos de train (ACFCdN, CFBS...) : http://bretagne-ferroviaire.org
Avatar de l’utilisateur
cfcdn
Jeckle
 
Messages: 2034
Enregistré le: 27 04 2006 à 10:51
Localisation: Rennes - Bretagne

Messagepar chef de gare » 14 08 2008 à 13:39

Rien de neuf de mon côté :cry:

Et du votre ? :D
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

Messagepar cfcdn » 14 08 2008 à 20:42

chef de gare a écrit:Rien de neuf de mon côté :cry:

Et du votre ? :D
Désolé, pour le moment je n'ai pas vraiment eu le temps de m'occuper de ça...
Voici des extraits du livre d'Alain Cornu (seule autre référence pour le moment autre que le CFRU) :
Les deux premières automotrices légères, De Dion-Bouton de type JA, permettant le transport de 20 voyageurs assis et de 6 debout, arrivèrent en juillet et août 1923 (n° 1 et 2). A leur arrivée, elles sont mises à l'essai sur la ligne Saint-Brieuc-Paimpol. Elles furent détruites en 1943 (la n°2 avait été transformée en fourgon).
En novembre 1923, la commission départementale décide d'acheter 3 nouvelles automotrices légères De Dion-Bouton. Ces automotrices du type JM1, sont un peu plus puissantes que les JA et permettent de franchir plus facilement les rampes du deuxième réseau. Elles ont été livrées en juillet 1924 (n° 3, 4 et 5). Elles seront mises en service sur Saint-Brieuc - Paimpol et Saint-Brieuc - Pléhérel. A partir du 1er octobre 1924, elles passent sur Saint-Brieuc - Collinée - Jugon. " Outre la question d'économie, les automotrices présentent sur les trains vapeur d'autres avantages très appréciés du public : la réduction de la durée des trajets, éclairage, chauffage et surtout régularité des horaires " (Hélary, 27 février 1925). Deux d'entres elles sont détruites en 1943.
...
En janvier 1925, la commission départementale approuve le marché avec la Société anonyme Paris-Aubevoye pour la fourniture de 2 remorques pour automotrices, pour adjoindre aux JM1.
En janvier 1927, la commission départementale autorise l'achat de trois autorails et de trois remorques De Dion-Bouton. Les automotrices sont de type KG (n°12 à 14) et les remorques de type KX. Ce matériel sera livré entre juillet et septembre 1927.
...
En avril 1932, la commission départementale approuve le marché d'achat de six automotrices De Dion-Bouton (n°6 à 11). De type JM4, elles seront livrées en décembre 1932 avec chacune une remorque KX. La 8 sera vendue à la Sarthe en 1946. La n°9 sera détruite en septembre 1933. La n°11 est conservée par l'A.M.T.U.I.R.
les CdN sur Internet : http://chemin-fer-baie-saint-brieuc.fr
CPA et nombreuses photos de train (ACFCdN, CFBS...) : http://bretagne-ferroviaire.org
Avatar de l’utilisateur
cfcdn
Jeckle
 
Messages: 2034
Enregistré le: 27 04 2006 à 10:51
Localisation: Rennes - Bretagne

Messagepar chef de gare » 03 11 2008 à 13:30

Grâce aux documents communiqués par l'AAPA, de nouvelles données apparaissent sur la généalogie De Dion-Bouton.

Dans un courrier commercial du 11/01/1929, De Dion-Bouton mentionne le type JM3 comme étant de dimensions identiques au JM2.

Toujours dans ce même courrier, il est fait mention de châssis de remorque de type LJ :
- longueur de châssis 5.32 m
- empattement 3.75 m
- roues de 600 mm

Au final dans le cahier des charges du 4/04/1929, le type JM3 est bien mentionné comme ayant un châssis de 7,580 m, avec carrosserie de 6,370 m et empattement 4,350 m.

Les châssis de remorques type LJ sont toujours mentionnés :
- longueur de 5,320 m
- carrosserie de 5,400 m
- empattement de 3,750 m
- roues de 710 mm
Avatar de l’utilisateur
chef de gare
 
Messages: 955
Enregistré le: 22 06 2006 à 11:07
Localisation: Lutece

PrécédenteSuivante

Retourner vers Chemins de fer réels, touristiques, manifestations !!



Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : récup'61 et 16 invités