Anscochrome, je n'en n'avais jamais entendu parler, mais il semble exister des nostalgiques.
https://archive.org/details/dmbb04206http://www.lomography.fr/magazine/24634 ... color-filmAvec cette d....les superproductions hollywoodiennes n'auraient jamais existé, les cracks non plus.
Les codes couleurs d'emballages (jaune et rouge) étaient identiques à ceux de leur concurrent. Lequel a copié l'autre ?
En 1968, il y avait encore quelques machines vertes à la SNCF, donc pas la peine d'aller très loin pour avoir une telle idée. Par contre les cylindres rouges et blancs étaient une invention de la production pour qu'ils se voient mieux à l'écran, ce qui se confirme sur la capture d'écran. Cela navrait le chef d'exploitation monsieur F. pour le train du 15 aout. Dès la fin du tournage, les cylindres reprirent la teinte habituelle, ce qui était fait le 1er septembre. Le vert émeraude a été conservé la première année du CFTM, faute de temps.
Il a fallu attendre les années 90 pour que les cylindres rouges frappent à nouveau, lors de la restauration de la machine C.P. E 151 exposée à Lousado ; voir ici sur le forum :
download/file.php?id=69674&mode=view/DSC_0821s%20Lousado%20musee.jpgCela m'a fait un drôle d'effet de voir des photos du train du 1er septembre, photos réalisées par un amateur anglais qui m'avait demandé de l’emmener. J'avais une 2 cv Citroën, véhicule qu'il ne connaissait manifestement pas. Je le voyais blêmir dans tous les virages. Malgré toutes mes explications lui disant que c'était la caisse de la voiture qui s'inclinait et que les roues restaient au sol, il a abandonné dès Saint Julien Boutières.
JML