Ce serait un bon exemple à présenter à nos braves ingénieurs du STRMTG ou de l'EPSF... et l'occasion de les faire sortir de leurs bureaux et de leurs belles théories réglementaires !

D'ailleurs, c'est valable aussi pour les ingénieurs APAVE en ce qui concerne les réparations de chaudières comme vu plus haut dans ce fil.

J'ai connu dans les années 80 des roues à double boudin qui roulaient toujours dans les Landes. Le rail 25 kg pour de la voie normale, avec le sable landais, ça faisait de beaux usinages... D'ailleurs, les pointes de coeur avaient des usures curieuses en forme de double lacune de passage, sans parler des rails contre-aiguille. Et ça réussissais à emprunter aussi les voies principales SNCF, ça sautait un peu sur les appareils, mais sans plus de problème !



Dans le même ordre d'idée, à la fin du siècle dernier (!), beaucoup de rames de la ligne C se sont trouvées arrêtées après des problèmes de graisseur Lubrovia ayant engendré des Qr à moins de 5, voire encore bien en-dessous, et en très peu de temps... Les connaisseurs apprécieront ! Près d'un tiers du parc immobilisé en moins de temps qu'il ne faut pour le dire après déclenchement de VOR hors programme du coup. Même après permutations des essieux encore réutilisables, il n'y avait plus d'essieux en stock, et le tour en fosse a fait ce qu'il a pu ! Comme quoi, ça peut rouler à 140 bien en-dessous de 6,5.


Comme beaucoup de choses, sans exagérer non plus

Jacques, ancien apprenti du matériel à la SNCF.