Métriques au Liban

Pour discuter des chemins de fer à voies étroites ou métriques à l'échelle 1, des trains touristiques à voies étroites ou métriques, des manifestations sur ces mêmes réseaux, des expositions de modélisme ferroviaire ...

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Re: Métriques au Liban

Messagepar Ferrovius » 17 12 2015 à 09:35

Oui, fil très intéressant, merci!
Il y a eu des efforts pour une valorisation de ce patrimoine il y a 5/6 ans.
Nous avions eu, au Blonay-Chamby, la visite d'un jeune libanais qui travaillait dans l'engineering ferroviaire à Lyon et nous avait parlé de plans assez précis.
Mais bon, il y a d'autres problèmes plus "vitaux" actuellement dans la région...
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Re: Métriques au Liban

Messagepar 150Y17 » 17 12 2015 à 10:49

Un grand merci pour cette documentation très intéressante!! Le matériel roulant et les installations qui restent feraient un superbe musée une fois mises en valeur :rod_coeur

Il est triste de voir dans quel état se trouve ce beau pays...et bien sûr la préservation du patrimoine ferroviaire n'est pas le première priorité en ce moment. On verra ce que le temps apportera :^)
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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 17 12 2015 à 21:11

Merci pour vos encouragements et appréciations...! :ipb-251
Je disais, un peu plus haut, qu'il fallait se méfier des légendes portées ou non sur les CPA. Une nouvelle preuve vient de m'en être apportée par la découverte d'une nouvelle CPA du "train blindé", absolument identique à la première. Seule différence, Il n'y a aucune mention sur la carte elle-même, contrairement à celle que j'ai retenue, et le commentaire la localise à Ezraa, pendant la révolte Druze...
Chronologiquement ce n'est pas impossible, puisqu'il s'agit des mêmes évènements, et techniquement non plus, puisqu'existait à Damas un raccordement entre les gares du DHP et celles du CdF du Hedjaz permettant la circulation des trains d'un réseau à l'autre.
Ce qui introduit le doute quant à sa localisation à Rayack, ce sont deux choses :
- D'une part, entre les deux casemates à roulettes, on devine quelque chose ressemblant à des tentes. C'est, plus surement, un camp de toile, comme à Ezraa, qu'un camp de baraquements comme à Rayack;
- D'autre part, le paysage est d'une platitude totale, qui se rapproche davantage du décor de la région du Hauran, où se trouve Ezraa, que des environs de Rayack où il est bien difficile de ne pas avoir le Mont Liban ou l'Anti-Liban en toile de fond...
Voilà, je vous laisse faire votre religion...
-------------------
Allez, après cet épisode guerrier, retrouvons Rayack, pour, immédiatement, partir pour Damas.
Comme on l'a vu, dès la sortie de la gare, la voie commence à grimper. Il s'agit maintenant de franchir l'Anti-Liban. La ligne rejoint la rivière Yahfufa dont elle va suivre tous les méandres jusqu'à la ville de Serghaya, dont les environs abritent sa source.

Dès que l'on quitte la plaine le relief devient semi-aride et la végétation ne se maintient qu'en fond de vallée, au plus près de la rivière. Cela cache le détail du tracé ferroviaire mais aide considérablement son repérage général.
Sur le cliché suivant, certainement pris au printemps, on devine la ligne qui aborde la montagne en longeant la vallée. Au fond, invisible, se trouve Rayack.

On approche du méandre où se trouve la gare de Yahfufa qui ne dessert aucun village proche. Située à 12 km de Rayack et 9 km de Zergahya, elle devait certainement jouer le rôle de gare de croisement (non, il n'y a pas de voie d'évitement) et de ravitaillement en eau car la pente est loin d'être négligeable, 25 à 30 pour mille, même s'il n'est plus question de crémaillère.

On y retrouve le train de reconnaissance de 1895.

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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 18 12 2015 à 01:04

Les CPA et photos d'époque tendent à se faire rare à partir de Rayack. Heureusement monsieur Ghiath Ramadan en a pris beaucoup, et d'excellente qualité, autour des années 2000, sur le parcours syrien qui fonctionnait encore comme train touristique, avec le matériel d'époque rescapé. Sur ma demande il m'a autorisé à les publier sur PME. Il en était même très content. Je l'en remercie chaleureusement ici. Ses photos sont repérées GH-R.
Beaucoup d'entre vous les connaissent certainement déjà mais moi, elles me permettent d'illustrer joliment la dernière étape de notre voyage jusqu'à Damas.
Voici tout d'abord une série prise dans la vallée de la rivière Yahfufa, aux environs de la frontière Syro-Libanaise. A cet endroit, à l'époque de ces photos, la ligne n'est plus exploitée, je pense, les circulations depuis Damas s'arrêtant à Sergahya.
Nous suivons maintenant la ligne par un beau jour d'hiver.


Nous allons à nouveau croiser Pierre Loti, toujours aussi remonté contre "l'invasion" occidentale ! Je rappelle qu'il fait le même trajet que nous mais en sens inverse. Il a donc suivi cette vallée avant de la quitter pour se diriger vers le nord-ouest et Baalbeck.


Nous franchissons maintenant la frontière à Jisr Remani. Le trait blanc marque l'entrée en Syrie.

J'ai noté sur la carte, deux cercles susceptibles, selon moi, d'accueillir une halte-frontière. En effet, comme on l'a déjà vu à Houch Halla, il existait des haltes dont on ne trouve pas forcément trace dans les horaires mais qui surgissent au détour d'un texte ou d'un guide de voyage. En particulier, j'ai trouvé mention de ce site une fois. Je ne sais pas du tout s'il y avait une quelconque halte mais il faut savoir qu'entre la Syrie et le Liban les relations n'étaient pas toutes de miel...
Les tensions diplomatiques se matérialisaient souvent par la fermeture pure et simple de la frontière pour des durées variables. Il ne m'étonnerait donc pas qu'un poste-frontière ferroviaire desservi, côté syrien, par une piste, ait été installé ici. J'ajoute que tout cela n'est que pure spéculation de ma part.
Continuons notre trajet.



Presque au terme de la remontée de la vallée nous arrivons à Serghaya.


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Re: Métriques au Liban

Messagepar tkautzor » 18 12 2015 à 05:55

Je ne pense pas qu'il y avait un poste frontière à proprement parler à la frontière. Les contrôles se faisaient certainement dans les dernières gares traversées, Rayak au Liban et Serghaya en Syrie. Si la frontière était fermée, les trains terminaient dans ces gares.

C'est pareil entre la Syrie et la Jordanie, où il y des petites gares des deux côtés de la frontière (Nasib km 135.7 et Jabir km 140.1), mais comme les trains ne s'y arrêtaient plus ces dernières années, le contrôles se faisaient respectivement à Dera'a (km 123.0) et Mafraq (km 161.9).
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Re: Métriques au Liban

Messagepar edouarddenis » 18 12 2015 à 09:16

:maitre: Pour info, il y a une excellente description de la ligne Beyrouth - Damas et de ses alentours dans le guide Baedeker Mediterranean, une édition rare de 1912 mais qui fourmille de cartes très intéressantes. Pas de postes de douane entre Syrie et Liban sous l'empire ottoman, même si le Liban avait déjà une signification géographique et une signification stratégique, les puissances occidentales et la Russie s'étant arrogé le droit d'y protéger les minorités chrétiennes en y plaçant des garnisons. Cette description est reproduite dans le n°31 de Tramania. www.tramania.com :maitre:
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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 22 12 2015 à 01:08

A tkautzor et edouardenis : OK pour vos avis.
-----------
Voici maintenant la vue générale du trajet qu'il nous reste à parcourir de Serghaya à Damas. La ligne, flèches rouges, passe par un point haut au kilomètre 88,5 environ, à l'altitude de 1 405 m, vers Ain Hoor, entre Serghaya et Zabadani, où nait la rivière Barada qu'elle suivra jusqu'à Damas. Cette rivière alimente l'oasis de Damas et ses jardins, la Gouhta : c'est la tache verte en bas à droite de la vue satellite.


La vallée d'altitude entre Serghaya et Zabadani est propice aux plantations d'arbres fruitiers que traverse la ligne sur les photos suivantes.


Les vergers en question sont visibles sous forme de tache verte au-dessus d'Ain Hoor.

Peu après on arrive à Zabadani, KM 97 à 1 206 m d'altitude.


La proximité de la voie, et même son assise, semble avoir été largement colonisée !

Voici la gare :

La ligne serpente ensuite entre rues et maisons.

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Re: Métriques au Liban

Messagepar Beyer-Garrat » 22 12 2015 à 20:20

Superbe étude que je suit ...sans rien dire #B6
Retrouvez mes montages passés ou futurs sur ma chaine Youtube :

https://www.youtube.com/channel/UCFlT8znNgdMVARcDg51y8Zg
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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 23 12 2015 à 01:00

Continuons, continuons, JP, nous avons encore de belles choses à voir...
Regardons tout d'abord la ligne serpenter le long du coteau, au sud de Zabadani, pour franchir un étroit de la vallée avant de retrouver une région plus plate et cultivée au niveau de Madaya. Selon un horaire de 1914 il y eut une halte à Madaya. Certainement pas en 1895, à l'ouverture de la ligne, mais plus tard, en fonction des besoins et des demandes, certainement, tout comme dans nos réseaux départementaux de métropole, avec une infrastructure minimum.



Les vues satellitaires, générales comme particulières, écrasent le relief mais il faut avoir à l'esprit, comme nous le verrons tout à l'heure dans la vallée du Barada, que les arides chaines montagneuses de l'Anti-Liban, qui encadrent la vallée à l'est comme à l'ouest, méritent le respect car culminant à près de 2000 m d'altitude. Par voie de conséquence les pentes surplombant les vallées sont particulièrement raides et justifient, compte tenu des moyens de l'époque, les sinuosités de la ligne du DHP, auxquelles il faut ajouter, bien sur, la recherche d'une construction la plus économique possible.
Vers la fin de la région cultivée la ligne suit au plus près la route 113 et parvient au village et à la gare d'El Tequieh, magnifiquement restaurée dans un site boisé très agréable.






Rien à rajouter devant ce charmant paysage...
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Re: Métriques au Liban

Messagepar edouarddenis » 23 12 2015 à 07:24

:maitre: C'était à Tekkieh (ici Tequieh sur la gare) que se trouvait l'usine hydro-électrique des tramways de Damas. Malgré plusieurs refontes (rehausse du barrage, ajout de turbines), elle n'a jamais suffi à répondre aux besoins de l'entreprise et était donc assistée de groupes diesel Carels (le Belge aussi constructeur de locomotives) et Tosi. L'usine sera transformée en camp retranché lors de la révolte druze, assiégée par les insurgés qui seront tenus à distance par une poignée de gendarmes et le personnel du barrage. Et c'est en train blindé que le consul de Belgique viendra féliciter les défenseurs. Bien sûr, c'est le chemin de fer qui achemina toutes les fournitures de l'usine et des tramways. :maitre:
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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 24 12 2015 à 00:44

Effectivement, c'est en 1907 que l'usine a commencé sa production électrique.
Les travaux et la mise en eau du barrage ont, bien sur, modifié le paysage.
Voyons tout ça de plus près et, d'abord, regardons la première partie de la vallée du Barada, la plus aride et la plus spectaculaire.

Notons au passage que la gare d'El Tequieh fut un enjeu militaire, en 1920, lorsque les troupes françaises, en vertu du mandat confié à la France sur la Syrie, se mirent en devoir de chasser Faycal de la ville de Damas où il tentait d'établir la capitale de son nouveau royaume d'Arabie tel qu'il lui avait été discrètement promis par l'Angleterre, par l'intermédiaire de Lawrence (d'Arabie), en échange de son alliance contre l'empire ottoman pendant la 1ère guerre mondiale. Remarquons que, par hasard certainement, l'Angleterre lui cédait un territoire revenant au mandat français... :rod_siflet
La gare d'El Tequieh devint ainsi, temporairement, c'est à dire pendant la brève campagne qui devait mener à la prise de Damas, dans la pleine chaleur de l'été syrien qui épuisait bêtes et hommes, le terminus des trains militaires alors que le DHP était réquisitionné et mis à disposition de l'autorité militaire.
--------------
Approchons nous du site du barrage hydro-électrique :

C'est dans un étroit de la vallée, où un brusque changement de niveau crée une chute, que le barrage fut construit, au confluent des rivières Barada et Zerzer (ou Zorzor, ou Zarzar, suivant les ouvrages...).

La chute du Barada, en 1895, avant construction du barrage. Au loin et plus haut, il me semble, sans certitude, deviner le train de "reconnaissance".

1895, toujours. Le confluent du Barada, venant de la droite, et du Zerzer, venant de sous le viaduc.

La ligne poursuit sa route dans la vallée encaissée.

Un peu plus d'un kilomètre après le viaduc, ce site a été photographié.


On se retourne pratiquement sur place et on tombe sur le petit site suivant :

...que voici.

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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 24 12 2015 à 01:29

Cliché sans localisation précise mais qui date de 1968, c'est à dire à une époque où la ligne était en exploitation commerciale.

Plus récent, à peu près au même endroit, dirait-on.

Dernières longueurs avant Souk Wadi Barada.

Ce train arrive de Damas :

Elargissons le paysage à partir du cliché précédent :

Serrons la vue pour admirer l'inclinaison des couches de terrain au dessus de la ligne :

1895, sortie du tunnel :


Je trouve les photos de Ghiath Ramadan si chouettes que je vais en abuser...


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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 26 12 2015 à 01:35

Nous allons maintenant "avancer en reculant" pour traverser le tunnel de Souk Wadi Barada.



Sortie du tunnel, côté village, en 1895.

La gare de Souk Wadi Baraba en restauration...

...et restaurée...

Après les 4 km d'El Tequieh (1 093 m d'altitude) à Souk Wadi Barada (1 008 m) voici maintenant les 5 km jusqu'à Deir Kanun où nous ne serons plus qu'à 896 m.

Au débouché de la gorge du Barada la vallée s'élargit et permet la reprise des cultures grâce à la précieuse eau de la rivière. Remarquer, sur la droite, l'entretien (ou la réparation ?) soigné de la voie, avec, semble-t-il, un mur de soutènement neuf côté montagne.

A l'approche de Deir Kanun la ligne se faufile dans la végétation.


L'entretien de la voie ne semble pas être de la même qualité que plus haut, ou même dans le tunnel, où ça parait tout à fait acceptable. On verra, sur de prochaines photos que, souvent, le tracé a été transformé en chemin de campagne utilisé, certainement, par des véhicules routiers ou agricoles qui n'ont, en principe rien à faire là...! C'est vrai que, à partir de l'interruption du transit vers le Liban (1975 ?), la fréquence des trains sur le tronçon syrien ne devait pas gêner le promeneur...
Je me demande d'ailleurs si le trafic commercial sur ce tronçon syrien a continué pendant la guerre au Liban et combien de temps, avant qu'il ne reste plus que des trains "touristiques".
Je n'ai pas de renseignements sur le sujet. Si quelqu'un a quelques lumières, ça m'intéresserait.
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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 26 12 2015 à 23:42

On approche de Deir Kanun. Voici la ligne transformée en chemin rural.

La gare de Deir Kanun en restauration...

...et restaurée, avec un train de matériel, dont un tender passablement rouillé. Le matériel ressemble vaguement à des éléments de réservoir.

Toujours Deir Kanun.

Partons pour Ain Fijeh, 4 km plus loin, à l'altitude 818. Nous serons au km 123 de Beyrouth.

Voici un aperçu du paysage de la vallée du Barada.

A l'approche d'Ain Fijeh :

Paysage d'hiver.

1895. Pour faire passer la voie il a fallu repousser le Barada.

Nous entrons en gare d'Ain Fijeh :

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Re: Métriques au Liban

Messagepar Tirefond » 27 12 2015 à 23:35


...comme elle ne l'était pas à l'époque de sa construction. Remarquer la draisine que l'on retrouve sur nombre de clichés anciens de la ligne.

Avant restauration...

...et après...joli, non ?

...sous la pendule Garnier.

Portrait de famille : la 754 et la 755.


Je me posais précédemment la question de savoir combien de temps l'exploitation commerciale avait pu continuer, en Syrie, malgré l'interruption des services au Liban. Si l'on en croit le cliché de 1979, il semblerait qu'à cette époque les services commerciaux fonctionnaient toujours. La ménagère et son panier à roulettes me semble un bon indicateur...
Par contre, en 2000, difficile à dire.


Vue d'ensemble avant de continuer vers Damas, pour nous, parce que le train, lui, est orienté vers Rayack et Beyrouth.

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