Une quinzaine entre bruits, fureur, pétarades et feux d'artifices
En effet, nous sommes passés dans le lourd et le bruit avec pétarades dignes de celles d'un marteau piqueur !
Il s'agit de poser les derniers rivets sur le châssis De Dion avant la pose de la caisse qui ne saurait tarder tant nos menuisiers trépignent de passer à l'action.
Par trois fois donc, nous avons fricassé les champignons à la forge pour les faire bien rougir avant de leur aplatir la couenne.
Et c'est pas du p'tit boulot.
Nous avons eu l'occasion de le faire devant du public lors de nos journées "savoir faire" et beaucoup se sont bouché les oreilles.

Et voilà l'travail
Bon, il y aura une autre séance car il en reste encore 4 ou 5 encore à poser faute de temps lors de la dernière fricassée
C'est l'occasion de montrer ici un engin bizarre... Notre masse porte contre-bouterole car en rivetage horizontal, il faut bloquer la tête du rivet avec force, c'est ce que font les deux gaillards de gauche sur la seconde photo, l'un s'arc-boutant avec les jambes.
C'est du boulot on vous dit !
Heureusement, il y a des occupations plus calmes à l'atelier. Là, il faut plus regarder vers les feux d'artifices.
Pierre nous a concocté un gabarit pour plier à chaud les 2 glissières de portes de fourgon qui nous manquent.
A SUIVRE