Le frein sur rail, est obligatoire pour des pente dépassant 50 %o, on utilise soit des patins métalliques, éventuellement striés (motrices PCL)
ou avec des briques de carborendum incerrées (Morez - La Cure)
Mais très vite on préféra le frein électromagnétique ou dit à solénoïdes. Là, c'est la force magnétique qui attire les patins sur le rail et en augmente l'efficacité. De surcroît il peut être autonome lorsqu'il est connecté en dérivation du frein réhostatique... c'est à dire qu'on prélève une partie de la tension dans les résistances pour activer les dites solénoïdes; ainsi en cas de coupure de l'alimentation électrique, perche qui "décâble", ce frein d'urgence est toujours opérationnel.
Sachez que sur le tramway de Beaucourt (usine Japy) il était fait usage d'une béquille anti-recul, comme sur les premiers trolleybus en Suisse (ligne Fribourg Favargny) et quelques camions de livraison, au début de l'ère automobile...
Je pense qu'il faut faire une première distinction entre les freins agissants sur les roues ou les axes (freins à disques ou tambours) et ceux ayant une action séparées par exemple: rails, rails complémentaires, crémaillères, longrines etc
A bientôt.
NB. Le frein-gale n'existe bientôt plus, depuis qu'il existe des boissons énergisantes, tendant à donner dez'ailes et là on rentre dans le domaine de l'aviation!
