Le train jaune

[Paul F]

On ne deviens pas plus fort en se coupant le petit orteil...

[rail cassé]

et non, ce n'est pas moi le petit gars tout emmitouflé devant la porte du chef de service! hi! hi! hi!

[rail cassé]

Non le train n"est pas gratuit, il est comme les chamonix bus en libre circulation entre servoz et vallorcine!

Bonsoir Rail cassé,

Merci pour ces précisions.

Une dédicace spéciale en souvenir de la gare des Houches.

Z 600 en gare des Houches en février 1985

Bientôt 29 ans nous sépare de cette photo.

Concernant l'espacement des trains, à cette époque on ne parlait pas encore de l'annexe 1
(Voie unique à signalisation simplifiée) du Règlement S 4 A, et encore moins de l'IN 1527.

On était encore rendu à la stricte application de l'ancestrale IGS4.

Que de souvenirs ! ! !

je n'arrive pas à lire le n° de la Z 600, sur la photo originale cela doit être possible?


En plus à cette époque, vous aviez encore la gestion des secteurs électriques du 3 ème rail en plus de la sécu des circulations.

[Z23200]

Excellente photo de cette magnifique ligne St Gervais/Vallorcine qui nous "replonge" à la glorieuse époque !

Mais, pour en revenir au train jaune, je ne crois pas qu'il faille rêver quant à une éventuelle exploitation en touristique au regard de divers éléments non négligeables: alimentation électrique et entretien des sous stations, et... l'on ne parle pas de l'entretien des ouvrages d'art comme le Gisclard par exemple...

Malheureusement, on se retrouve dans le même contexte de la fin des années soixante avec les suppressions des lignes secondaires... Lamentable, alors que tout le monde parle du, soi disant, "développement durable" !

[rail cassé]

C'est du flan le développement durable!!! juste une autre façon de faire du libéralisme en y mettant de quoi faire avaler les couloeuvres!

[Tirefond]

Bonjour,
Un extrait du très intéressant et copieux rapport mis en ligne ce jour par 130HSP sur le devenir des CdF touristiques. Serait-ce aussi du flan ? Finira-t-il dans un tiroir ?

Par ailleurs SNCF et RFF n’exploitent plus de nombreuses voies dont certaines disposent pourtant d’un fort
intérêt touristique ; quelques rares sociétés, des acteurs associatifs et les collectivités locales sont à l’origine
d’initiatives visant à mettre en valeur un potentiel touristique. Le « déferrement » semble offrir a priori une
facilité pour créer des plateformes vouées aux déplacements doux : randonnées, pistes cyclables… mais
leur coût de mise en œuvre est similaire à la mise en place d’un train touristique et leur entretien est à la
charge des collectivités locales, alors que les exploitants de chemins de fer touristiques prennent en charge
l’entretien de leur voie ferrée.
Dans le monde d’aujourd’hui, il est aussi légitime de se demander si la destruction d’une partie du patrimoine
ferré de France « n’insulte » pas l’avenir des transports collectifs et durables en France. À l’instar des
tramways disparus au milieu du siècle dernier et que l’on reconstruit aujourd’hui à grand prix, ne vaudrait-il
pas mieux conserver ces infrastructures en situation d’être réhabilitées dans des conditions économiques
supportables ?