Et le plasticard

Salut
Je lance un sujet sur le travail du plasticard, afin d'échanger trucs et astuces et à la demande de certains amateurs.
Je travaille ce matériau depuis 25 ans et vraiment, pour quelqu'un qui comme moi n'a ni la patience ni le doigté pour travailler le laiton, je trouce cela formidable.
Je vous reparle ici de la De Dion au 1/22,5 commencée il y a quelques temps et dont la caisse est terminée.
Tout n'est pas en plasticard.
Pour les faces de caisse, j'ai utilisé des baguettes de peuplier prises en sandwich entre deux cartons forts dans lesquels sont découpés les fenêtres. Une fois assemblés les quatre côtés, chacun d'eux à été contrecollé extérieurement par une plaque de plasticard puis, par une tôle d'aliminium très fine.
Ce ne sont pas là des matériaux onéreux. Par exemple, j'ai pu récupérer pas mal de plasticard là où je travaille. Etant bibliothécaire, nous avons récemment remplacé de vieux séparateurs de BD blanc en plasticard par des plus épais et transparents. Voilà un lot de plaques de 1 mm pour pas cher, qui partait à la poubelle. Je ne saurais trop vous conseiller également d'aller récupérer, chez l'imprimeur du coin, des plaques en aluminium. C'est formidable, quelques dixièmes de mm d'épaisseur, ça se coupe au cutter après quelques passages de lame, on plie comme le plasticard et on a une cassure bien nette. Ça s'embouti, pour faire de beaux riverts repoussés avec une vielle roue crantée de réveil matin, c'est solide puisque c'est du métal.
Le capot de moteur est également entièrement en plasticard ainsi que la calendre. Plusieurs essais de calendre en tôle d'alu se sont avérés ratés, la découpe arrondie est trop précise. Une fois peint couleur laiton, ça ira.
Dernier petit truc, afin d'obtenir des fenêtres bien nettes : tracer un trait de coupe au cutter sur le pourtour puis faire une croix au cutter avec les deux diagonales de la pièce à découper. Cette croix est entaillée au cutter jusqu'à coupure complète, ensuite, plier pour cassure les quatres triangles ainsi obtenus. Résultat garanti.
Je lance un sujet sur le travail du plasticard, afin d'échanger trucs et astuces et à la demande de certains amateurs.
Je travaille ce matériau depuis 25 ans et vraiment, pour quelqu'un qui comme moi n'a ni la patience ni le doigté pour travailler le laiton, je trouce cela formidable.
Je vous reparle ici de la De Dion au 1/22,5 commencée il y a quelques temps et dont la caisse est terminée.
Tout n'est pas en plasticard.
Pour les faces de caisse, j'ai utilisé des baguettes de peuplier prises en sandwich entre deux cartons forts dans lesquels sont découpés les fenêtres. Une fois assemblés les quatre côtés, chacun d'eux à été contrecollé extérieurement par une plaque de plasticard puis, par une tôle d'aliminium très fine.
Ce ne sont pas là des matériaux onéreux. Par exemple, j'ai pu récupérer pas mal de plasticard là où je travaille. Etant bibliothécaire, nous avons récemment remplacé de vieux séparateurs de BD blanc en plasticard par des plus épais et transparents. Voilà un lot de plaques de 1 mm pour pas cher, qui partait à la poubelle. Je ne saurais trop vous conseiller également d'aller récupérer, chez l'imprimeur du coin, des plaques en aluminium. C'est formidable, quelques dixièmes de mm d'épaisseur, ça se coupe au cutter après quelques passages de lame, on plie comme le plasticard et on a une cassure bien nette. Ça s'embouti, pour faire de beaux riverts repoussés avec une vielle roue crantée de réveil matin, c'est solide puisque c'est du métal.
Le capot de moteur est également entièrement en plasticard ainsi que la calendre. Plusieurs essais de calendre en tôle d'alu se sont avérés ratés, la découpe arrondie est trop précise. Une fois peint couleur laiton, ça ira.
Dernier petit truc, afin d'obtenir des fenêtres bien nettes : tracer un trait de coupe au cutter sur le pourtour puis faire une croix au cutter avec les deux diagonales de la pièce à découper. Cette croix est entaillée au cutter jusqu'à coupure complète, ensuite, plier pour cassure les quatres triangles ainsi obtenus. Résultat garanti.