pelican a écrit:j'exploite en digital mon réseau d'expo en IIm, et j'ai 2 voies que je peux isoler pour exposer en statique des modèles non digitalisé (les interrupteurs commandant ces voies sont cachés dans la végétation) ! les aiguilles sont à commandes manuelles, et il n'y a que 2 fils pour alimenter les modules ! j'ai 3 prises de courant sur le réseau et un feeder à 2 fils .. et 3 prises, ce qui me garanti un fonctionnement sans soucis ! et je peux faire tourner 2 convois simultanés + manoeuvrer sans trop de surveillance ! on peut aussi revenir à l'analogique facilement, quand il n'y a pas de décoderus d'aiguille reliés à la voie : à Erezée, j'ai branché un ptit transfo analogique pour faire tourner du matos non digital !! mais là, je ne peux faire tourner qu'un engin !
Entièrement d'accord. Sur les modules, depuis qu'on tourne avec l'Intellibox, pratiquement aucun souci. Sauf à Expom 2006. C'était dû à une erreur de câblage sur un module et à un souci d'éclairage d'un certain véhicule (dont je tairai le nom !

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En plus, sur le réseau P Lican, nous avions programmé la vitesse maxi des machines. Les petits montres pouvaient donc rouler 'a donf' (hein, Scoot).
Enfin, à expom 2005, j'ai souvenir des circulations dantesques avec la gaugemaster. L'oiseau bleu qui speedait à 200 à l'heure, l'ART du zoziau qui se trainait et tous les véhicules intermédiaires. J'ai souffert pour reguler le trafic en prenant mes points de repère. Lorsque telle machine passait à ce point là, je pouvais lancer telle autre à la condition que l'autre soit à tel endroit.
Sur un petit réseau dont on peut embrasser l'importance d'un seul regard, l'analogique suffit, par contre, lorsque les modules développent plus de 20m de voie visible plus le retour arrière, bonne chance.
Je terminerai en précisant que le taux de panne en analogique ou en digital sont plus ou moins équivalent en expo. J'ai vu des réseaux analogique planter un chou et heureusement que j'avais un transfo Fleichmann pour dépanner un club à Coudekerke.