Bon, alors voilà le châssis d'origine, avec des
gares debout garde-boues qu'évidemment on ne va pas garder, ça sert à rien

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On vire les coffres, moulés avec les longerons, et un des ensembles de suspension sans abimer le châssis. Une grande partie de plaisir :
La suite.
En haut après "nettoyage". En dessous, avec l’essieu mis à la bonne hauteur (calage de 2,5 mm environ) :
... me demande si je n'aurais pas fait de fabriquer longerons et traverses, ça aurait p'tête été plus rapide

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Vouala :
Les compléments bien carrés et verticaux, ça me fait drôle. Des éléments triangulaires auraient peut-être été plus réalistes

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Flûte, c'est fait

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La commande de frein de stationnement :
Le volant fait Ø 3 mm intérieur, soit à peu près 25 cm dans la vraie vie. Pas trouvé de cotes mais à vue de nez ça doit être ça.
Et pis faut bien pouvoir passer les mains.
La barre transversale est une bande de papier collée un peu en V vers l'arrière et rigidifiée à la cyano, la "tige" en laiton Ø 0,5 mm sur un carré de 1,5 mm de côté percé en son centre. C'est pas fonctionnel, on mettra une cale... basse.
Le coffre à agrès, qui contient justement des cales, une barre à mine, des câbles, des chiffons, les bidons d'huile, éventuellement des chaînes, etc, fait 1,20 m soit 14 mm en longueur (cote intérieure, bien entendu), tiré dans un profilé carré qui traînait de 5 mm de côté.
La face avant a été habillée d'une plaque de 0,3 mm gravée pour évoquer la tranche des côtés et la partie centrale ouvrante.
Manquent les anneaux et le cadenas de verrouillage

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L'autre côté recevra la roue de secours, inclinée car plus facile à prendre que lorsqu'elle est à l'horizontale sous le châssis : en '60, on crevait encore pas mal.
Et pis les béquilles : hameçon trop courtes donc à reprendre, et j'ai l'idée d'une lapinerie

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À suivre...